Jacques Bolle Président de la Fédération française de motocyclisme « La vie reprend »
Jacques, comment ça va, chez vous, dans notre sport, dans nos familles? Y a-t-il eu de mauvaises nouvelles?
Globalement et heureusement, non. Le monde de la moto s’en tire plutôt bien. Je n’ai pas eu écho de personnes gravement malades dans notre milieu.
De quelle façon l’entreprise FFM a-t-elle vécu ces deux mois de confinement?
Nos soixante salariés ont pour la plupart été mis en situation de chômage partiel. Quelquesuns ont continué à travailler pour assurer une veille, mais le siège a été fermé. Il n’a été rouvert qu’à la fin du confinement. En l’absence d’événements sportifs, notre activité a considérablement chuté mais il y a toujours des affaires courantes, notamment concernant ce qui s’est produit avant le confinement, des dossiers qu’il faut continuer à suivre et à traiter. Puis il nous a fallu préparer la réouverture. L’activité n’a pas cessé complètement. Mais bien
