Le MotoGP à l’heure du COVID
, lâche, désabusé, le responsable d’une structure d’assistance technique qui oeuvre depuis deux décennies dans le paddock. Le thermomètre est bloqué aux alentours de 35 °C et ça fait près de dix jours qu’il est enfermé dans la semi-remorque garée non loin de l’unique entrée du paddock. Cette dernière a été aménagée avec des files barrées de repères afin de conserver les indispensables barrières sanitaires imposées et de grands panneaux rappellent qu’à partir de cet endroit, le port du masque est obligatoire, quelle que soit la situation. Et si, Comme au bout de cinq minutes, le résultat ne bouge pas, Randy suggère d’essayer un autre pareil, cette fois, le 37 réglementaire apparaît et le Français peut reprendre le cours de ses activités. Mais quelle que soit la fonction de chacun, de champion du monde à commentateur télé, en passant par patron de team, et même Carmelo Ezpeleta, le boss du MotoGP, tout le monde est logé à la même enseigne. Et le mot d’ordre est répété à l’envi :
