Navigateurs GPS contre applications de guidage Quelle solution choisir?
Voyager d’un endroit à un autre est hasardeux si l’on ne connaît pas l’itinéraire à suivre! Ainsi, se déplacer sur le réseau routier implique d’utiliser une carte routière et de lire les panneaux indicateurs; hors des routes, la carte topographique et la boussole s’imposent.
Du papier au GNSS
Cependant, comprendre les panneaux n’est pas simple quand ils sont rédigés dans une langue étrangère et lire une carte exige de fréquents arrêts ou un copilote: pas simple à moto! Heureusement, la technologie a fait naître des outils électroniques permettant de se positionner, de calculer vitesse et sens de déplacement afin de déterminer et de représenter un itinéraire sur un écran de manière plus ou moins lisible. Comment? Grâce à des logiciels calculant des itinéraires à l’aide d’informations classées dans des bases de données géographiques, combinés à des puces électroniques capables de communiquer avec des constellations de satellites dédiés au géo-positionnement (GPS américain, Glonass russe, Galileo européen et BeiDou chinois pour les plus importantes), les puces GNSS depuis que le système américain GPS n’est plus le seul. Ces assistants personnels de navigation (dits « PND » pour « Personal Navigation Device »), démocratisés au début des années 2000 sous le nom de « GPS », sont désormais intégrés sous forme d’application dans tous les smartphones, dans de nombreuses automobiles et sur quelques motos.
Le GPS, c’est la carte!
Au-delà du récepteur, afficher des routes sur un écran et calculer
