THE PRETENDERS
AU RISQUE DE FAIRE FANTASMER au-delà du tolérable les lecteurs et lectrices, on est en mesure d’affirmer que c’est sous les draps de Chrissie Hynde, dans sa chambre d’adolescente, l’oreille collée à son poste de radio, qu’est née sa passion pour le rock, américain et aussi anglais. En marge dès son plus jeune âge, pas la première pour aller danser ou s’amouracher du beau gosse capitaine de l’équipe de foot de la Firestone High School de Akron dans l’Ohio, elle a commencé à se brosser un avenir dans la tête (faire partie d’un groupe) peu de temps après avoir empoigné sa première guitare électrique, une Kay, tout à fait convenable pour passer, en jouant par-dessus les disques, trois ou quatre accords.
Aux basques
Chrissie Hynde a vingt-deux ans en 1973, lorsqu’elle décide de faire, dans le sens inverse, le grand saut que les aspirants musiciens britanniques rêvent tous d’effectuer. Elle débarque à Londres, cherche un job de chanteuse d’un groupe et échoue dans la presse musicale, où elle sera connue pour sa dent dure. Elle est également vendeuse dans la boutique de
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