GASLYAU PARADIS, FERRARI EN ENFER

Vivement le grand prix d’Emilie-Romagne, qui aura pour cadre le circuit d’Imola, au début du mois de novembre. Les circuits italiens à pilote français a remporter un grand prix, et le 109 de l’histoire à faire son entrée dans ce club assez sélect. Carlos Sainz attendra encore. Au Mugello, ce fut un tout autre genre de spectacle sur un tracé inédit, ultra-rapide, spectaculaire et n’offrant pas le moindre doit à l’erreur. Près de la moitié du plateau y a laissé du carbone, quand ce ne fut pas une monoplace entière. Derrière les intouchables Mercedes d’Hamilton et Bottas, Alexander Albon est monté pour la première fois sur le podium. Ce qui n’a pas semblé réjouir plus que ça ses patrons, Christian Horner et Helmut Marko. Avec la bienveillance qui les caractérise, ils ont affirmé qu’avec un Verstappen, ils auraient visé la victoire. Oui, mais voilà. A Monza comme au Mugello, la mécanique de sa Red Bull a failli. Sans que le Néerlandais y soit pour quelque chose.