La France tente l’impossible
Envoyé spécial Beyrouth (Liban)
Un puits de douleur et de colère mais aussi un guêpier où chaque piqûre peut rendre fou… ou paralysé. Un an après son premier déplacement à Beyrouth, une semaine après celui du président de la République, la ministre des Armées, Florence Parly, a pris conscience de cette réalité à chaque pas de sa visite sur place jeudi et vendredi. Pour apaiser une population meurtrie par l’explosion du 4 août, qui a fait plus de 170 morts, et 6 et celle à venir en début de semaine du roulier , affrété par l’armée française, auront permis d’acheminer près de 2 000 tonnes d’équipement, de fret, de vivres et de matériel médical pour soigner et nourrir les populations les plus touchées. Mais parmi ces cargaisons figure un lot de 75 000 rations de combat destinées à l’armée libanaise ainsi qu’un poste médical permettant de soigner 500 blessés. signale une source militaire.
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