SONS ÉSOTÉRIQUES

L’ultime chef-d’oeuvre

algré son titre à double sens, ce n’était même pas un “album à clé”, doté de (1978) un puissant manifeste écologique en même temps qu’un adieu à ce statut de star folk-rock qu’il ne supportait plus. À l’époque, les critiques n’y virent que du feu, saluant simplement ses retrouvailles avec le producteur Paul Samwell-Smith, son complice de , et autres . À l’image de “Just Another Night”, s’inscrivait plutôt dans la lignée du superbe album-suite , avec ses mélodies poignantes et mélancoliques, délicatement ourlées au piano (“Daytime”), ses escapades bossa (“Nascimento”), ses fulgurances prophétiques sur la pollution (“ dans “New York Time”). Assortie de deux inédits (“Butterfly” et “Toy Heart”), cette réédition Deluxe aligne des démos, des outtakes, ainsi que son ultime concert (donné pour l’Unicef) en 1979. Le silence radio allait durer trente ans…