L’ÉTOILE DE CAPDENAC, MON PARADIS DES AUTORAILS
Aug 20, 2018
4 minutes
Texte: Thierry Porcher
Pas question d’utiliser ici le terme de « Micheline», passé à l’époque dans le langage courant pour désigner tous les autorails rouge et crème : Capdenac est une ville de cheminots et, de ce fait, c’est le mot juste – autorail – que l’on emploie en général ici.
Dans les années 1950 et 1960, mes vacances dans la famille me conduisent à Capdenac ou en Limousin. Dans cette dernière région, je ne rejoins la rustique maison familiale, difficilement accessible par le train, que pour une partie des vacances d’été. Par contre, chez mes grands-parents, à Capdenac, il y a tout le confort moderne et la gare est à un quart d’heure à pied. J’y vais donc
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