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Compilation M/M Entre Hommes (4 Romans Adultes)
Compilation M/M Entre Hommes (4 Romans Adultes)
Compilation M/M Entre Hommes (4 Romans Adultes)
Livre électronique140 pages1 heure

Compilation M/M Entre Hommes (4 Romans Adultes)

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À propos de ce livre électronique

Compilation de 4 Romances Entre Hommes !  Découvrez dans cette anthologie exceptionnelle: 

 

1. Dark Desires

 

Nous étions plongés dans le noir. Nous étions tous entièrement nus ou presque, dans cette moiteur de boîte de nuit, livrés à nous-mêmes et à nos autres sens que la vue. Le moment était venu de la 2e partie de soirée, celle où l'on ne voit rien, mais où l'on ressent tout.

Je vivais pour la première fois ce concept. Une boîte de nuit gay, plutôt chaude, se transformait en un énorme baisodrome à 2h du matin, dans un noir complet et une musique enivrante. Un corps me saisit, à ma gauche, et je sentis ses mains parcourir mon torse, tandis que d'autres mains venait caresser mon entrejambe. Une bouche vint m'embrasser goulument, pendant que je sentis une autre lécher ma cuisse et remonter lentement vers mon sexe.

Cette nuit allait changer ma vie. Et ça n'allait pas être la première.

 

2. Road Trip X

 

Fraîchement célibataire, enfin fraîchement largué surtout, Antonio, à tout juste 25 ans, décide de plaquer le peu qu'il lui reste pour parcourir le Brésil du nord au sud au volant de sa vieille moto. Au bout de ce voyage : se retrouver, et retrouver l'envie de vivre. Sa première étape sera à Brasilia, la capitale connue pour ses loubards et ses bars gays très, mais alors très chauds… voire même carrément dangereux !

Le seul souci, c'est qu'Antonio, ce beau brun mystérieux n'aime pas qu'on lui dicte sa conduite, et aime les hommes particulièrement loubards… Et lors de la première étape de son road trip, il ne sera pas déçu…

 

3. Plan A Trois M/M

 

Ca y est, c'est parti pour 10 jours de vacances au camping avec mon mec et mes potes ! Et surtout un petit nouveau dans notre bande, Tonio, un beau gosse comme ce n'est pas permis…musclé, sec, un visage d'Ange…de quoi me régaler les yeux…discrètement…

Jusqu'à cette fameuse soirée sur la plage, je n'aurais jamais pensé oser faire quoi que ce soit  comme cela, en plein air, la nuit avec mon mec, et ce mec si beau…

 

4.L'Officier Proxénète

 

Lorsque Baptiste regarde Antonio, il n'arrive pas à le cerner. Mais il sait qu'il est complètement sous son charme, très clairement. Il le trouve beau, il le trouve terriblement sexy avec son allure distingué, et surtout il le trouve inaccessible : c'est son boss à la caserne de pompier.

 

Antonio n'est pas l'officier respectable que tout le monde pense, mais un véritable businessman qui opère dans l'escorting, et lorsqu'il propose à Baptiste de passer un test, il en reste bouche bée. Surtout que le "test", est avec lui… et qu'il dure toute une nuit...

LangueFrançais
ÉditeurDominique Adam
Date de sortie16 juil. 2024
ISBN9798227055354
Compilation M/M Entre Hommes (4 Romans Adultes)

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    Aperçu du livre

    Compilation M/M Entre Hommes (4 Romans Adultes) - Dominique Adam

    Contents

    Road Trip X

    Dark Desires

    Plan A Trois M/M

    L'Officier Proxénète

    Dominique Adam

    Road Trip X

    Fraîchement célibataire, enfin fraîchement largué surtout, Antonio, à tout juste 25 ans, décide de plaquer le peu qu’il lui reste pour parcourir le Brésil du nord au sud au volant de sa vieille moto. Au bout de ce voyage : se retrouver, et retrouver l’envie de vivre. Sa première étape sera à Brasilia, la capitale connue pour ses loubards et ses bars gays très, mais alors très chauds... voire même carrément dangereux !

    Le seul souci, c’est qu’Antonio, ce beau brun mystérieux n’aime pas qu’on lui dicte sa conduite, et aime les hommes particulièrement loubards... Et lors de la première étape de son road trip, il ne sera pas déçu...

    Et dire qu’il y a une semaine, j’étais à Seattle en train de me faire larguer comme une merde. Maintenant, je suis là, sur ma Harley à rouler en direction de la capitale la plus chaude d’Amérique...

    Pourtant tout se passait plutôt bien. Louis et moi étions sortis au restaurant, on avait un peu picolé et on avait terminé la soirée chez moi... On s’était bien amusés et la nuit avait été vraiment sympa. Mais le lendemain, après deux ans et sept mois de relation, il m’a dit que c’était fini. Ce n’était pas suffisant pour lui, il voulait quelqu’un avec plus de folie paraît-il. C’est donc comme cela qu’il est parti, après le petit-déj’, me laissant désappointé et au fond d’un trou fraîchement creusé.

    J’ai ruminé pendant cinq jours. J’ai mal bossé, je ne voyais plus vraiment mes amis, ou j’étais désagréable. Puis, je me suis dit que ce n’était pas mon genre de réagir comme ça. Ce n’était juste pas le bon gars et malgré tout la vie continue. Du coup, j’ai pris une grande décision : il était grand temps de laisser parler mes envies personnelles et de réaliser un de mes rêves d’ado !

    Sans plus attendre, j’ai plaqué mon job, qui ne me plaisait que parce que Louis y travaillait aussi, j’ai mis mon appart à louer, j’ai fait rénover ma vieille Harley et je suis parti. Heureusement, je connaissais quelqu’un qui avait un grand pick-up. Le gars devait descendre au nord du Brésil et du coup il m’a déposé là-bas, avec ma machine...

    Le Brésil. C’était ça, un de mes plus grands rêves : traverser le Brésil en écumant les bars les plus branchés sur ma route. À tout juste 25 ans, je vais pouvoir vérifier par moi-même la réputation et tous les « on dit » sur ces fameux bars brésiliens.

    1ère étape : Brasilia bien-sûr !

    Après avoir trouvé un hôtel pour la nuit, je suis arrivé au « Play », bar gay, renommé pour ses voyous qui y trainent. Or, moi, j’aime les hommes avec du caractère. Un mec qui sait ce qu’il veut, quand, où, comment.

    Nul besoin de me retourner, que j’entends déjà les vrombissements connus de quelques bécanes. Ils étaient cinq, étalés sur leur Harley. Une des machines attira particulièrement mon regard. Elle était entièrement noire avec pour seule écriture le sigle Harley Davidson en acier vieilli. Le type qui l’avait regardait, lui aussi, ma propre bête. Il était habillé d’un pantalon noir, d’un tee-shirt, de la marque de nos montures, gris et noir et d’une paire de lunette style aviateur, noire, là encore. Sans voir ses yeux, je sentais son regard sondait le genre d’homme que j’étais en observant ma Harley. Ses potes ne me prêtaient pas vraiment attention, bien trop intéressés par ce qu’il se passait à l’intérieur du bar.

    Ils étaient postés à côté du bar, devant les fenêtres de celui-ci et jaugés clairement l’ambiance des lieux avant d’y pénétrer. À en voir les sourires qui se dessinaient sur leur visage, le Play allait être mon premier arrêt festif, je crois.

    Soudain, alors que je me demandais où laisser la moto, le gars qui avait la même que la mienne se dirigea vers moi. Il me fit signe de la placer à côté des leurs. Je compris que certains d’entre eux seulement allaient entrer à l’intérieur tandis que les autres garderaient les engins. Étonnamment, je lui fis confiance. Et nous voilà à rentrer à trois : un des autres bikers, lui et moi. Juste derrière lui, j’ai pu admirer son cul pour le moins bien tentant... Ça faisait un moment que je n’avais pas reluqué assez sérieusement quelqu’un. Et, je dois bien avouer qu’avec un fessier bombé, musclé comme le sien et un dos bien large comme j’aime, le regarder de derrière me plaisait vraiment bien.

    C’est à cet instant, pendant que je le matais sans me cacher, qu’il retira ses lunettes. Il était toujours devant moi, donc impossible de voir si son visage me plaisait autant que son corps de dos...

    Il se dirigea, tout comme moi, vers le bar. C’est là qu’il se retourna vers moi.

    « Tu veux quelque chose ?

    -Une bière, ça ira, merci.

    -Tu ne veux pas autre chose, plutôt ? Une bière, ce n’est pas ce qu’il y a de plus excitant... surtout dans ce genre d’endroit...

    -Gin Tonic alors s’il te plait.

    -Va pour deux Gin Tonic alors, répondit-il avec un clin d’œil. »

    Mince. Il a vraiment une belle gueule en plus. Et ses yeux... couleur ambrée, presque comme un délicieux cognac. Ce soir, Antonio, il va falloir que tu te décides.

    Le mec me tendit le verre.

    « Merci... Euh ?

    -Juan, dit-il avec un sourire en coin. Et toi, tu t’appelles comment ? Tu n’as pas l’air d’être de la région.

    -Salut, moi c’est Antonio. Je viens du Nord, de Seattle. »

    Juan explosa de rire.

    « Et tu as fait tout ce chemin depuis Seattle pour débarquer, ici, dans un bar de quartier peu recommandable ? T’es un peu givré, toi, non ? Mais bon...Personnellement, ça ne me dérange pas. Je dirai même bien au contraire... »

    Juan posa une main sur mon bras. Puis, il me caressa fermement une fesse de l’autre main. Il me fixait intensément, je sentais ses yeux me déshabiller sauvagement. C’était vraiment intense.

    Mon regard se détourna toutefois quelques instants pour constater qu’une bagarre venait d’éclater. Avec un grand sourire, Juan s’enfonça dans la masse de gens. Je compris en peu de temps qu’un de ses amis était à l’origine de l’incident. Je restai là, à le voir mettre des coups de poing aux autres mecs. C’était un sacré spectacle, il était doué pour se battre...

    Des lumières bleues apparurent à travers les fenêtres du bar. Panique générale, tout le monde commença à s’enfuir. Evidemment, n’étant pas habitué, je ne trouvais pas la sortie avec toute cette précipitation. Je sentis alors une main robuste m’agripper l’avant-bras pour me tirer vers un autre chemin que celui que j’empruntais. C’était lui. Sans même le voir, j’en étais persuadé. Ses longs doigts, sa peau presque usée par le travail manuel et sa prise ferme ne me laissaient aucun doute sur son identité.

    À peine sortis, je remarquai que Juan avait la lèvre légèrement ensanglantée. D’un revers de la main, qui ne me tenait pas, il s’essuya sans broncher. J’étais hypnotisé par cette aura de débauche sexy qui émanait de lui. Un vrai étalon...

    Quatre hommes arrivèrent vers nous. Ils n’avaient pas l’air très commode. Juan les envoyer paître sans ménagement. L’un d’entre eux lui reprochait de toujours foncer dans le tas, même dans les bagarres alors que ça impliquait aussi toute la bande et qu’aucun d’entre eux ne voulait finir en garde-à-vue pour ses conneries.

    Juan me tenait toujours l’avant-bras. Je sentis son étreinte se raffermir intentionnellement probablement. Il ne sembla pas apprécier les réflexions de son ami puisqu’il lui répondit par une superbe droite dans la joue... Le mec s’étala sur le bitume tandis que les deux autres râlaient sans pour autant le ramasser.

    « Antonio, merde ! Tu ne peux pas te contrôler un peu ? Tu sais qu’il a la frousse alors ne le dégomme pas comme ça !

    -Je n’aime pas que l’on critique ma façon d’agir et tu le sais. Qu’il apprécie ou non ce que je fais, je m’en cogne ! s’énerva ma nouvelle connaissance. Je ne vais pas changer, ni pour lui, ni pour personne d’autre !

    -C’est bon, calme toi. Comprends le, nous aussi on est inquiets quand on voit une bagarre et que direct, sans réfléchir, tu plonges dedans. Autant pour nous que pour toi d’ailleurs, on ne veut pas aller en taule et on ne veut pas que tu finisses à l’hosto.

    -Tu dis n’importe quoi ! Comme si j’allais finir aux urgences avec un simple coup...

    -Et d’ailleurs pourquoi il a commencé à se battre Felippe ? demanda subitement le troisième membre.

    -Il a vu son mec fricoter avec un autre gars... »

    Les quatre se regardèrent, celui qui s’était fait frapper s’étant réveillé. Les trois amis de Juan soupiraient, blasés de tout ceci. Les deux aidèrent le troisième, toujours assis par terre, à se relever et ils partirent retrouver le groupe.

    Personne ne me portait attention, si ce n’est Juan. J’avais l’impression d’être invisible. Mais j’étais bel et bien là, tenu par un mec au caractère bien trempé. Il n’était que 21h30. J’avais à peine bu un verre. Il était temps de repartir vers un autre bar...

    « Je vais y aller, lancé-je dans l’espoir qu’il soit déçu.

    -Non. Tu viens avec moi, répliqua t-il sans ciller.

    -Et tu comptes aller où ? Je vais dans un autre bar, moi. »

    Je tentais de me défaire de sa prise sur mon bras, mais j’étais beaucoup moins fort que lui, alors c’était peine perdue. Il me guida

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