Quatre Saisons De Poésie: Livre I
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À propos de ce livre électronique
Pierre-Paul Richer
De la poésie pour sortir du train, train de tous les jours! Un peu de rêve fait chaud au cur. Ce qui fait oublier les malheurs. Je me veux prophète de bonheur. Le bonheur se cultive tout comme un jardin. Ces quelques lignes de mon livre, tendent à vous rendre plus heureux. Ce livre que vous avez entre les mains, vous rendra sûrement plus heureux. Je veux pour vous, non seulement être prophète de bonheur, mais aussi, je veux être le jardinier de votre cur. I am born in a modest family of eleven children’s I grew up on a farm. I went to a country school up to the six degree. I had to walk more than four mils a day, and I was making some arthritis. Later- on, I have work for the Bell telephone. Soon, I ad to quit my work, because my hands come disable to do my work. I was making to much arthritis.
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Aperçu du livre
Quatre Saisons De Poésie - Pierre-Paul Richer
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Rev. date: 03/20/2020
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TABLE DES MATIÈRES SUITE
À chacun sa course !
À la course !
À la face du blanc !
À l’écoute !
À quel nom la paix !
À qui la chance !
À vingt ans !
Invitation !
Abandon !
Abandon ! 2
Absence !
Aimer la vie à en mourir !
Ainsi passe les jours !
Ainsi va la vie !
Amant de la misère !
Amour (en acrostiche)
Amour de la vie !
Amour quand tu nous tiens !
Amour tendre !
Arrêt !
Au bout de sa course !
Au chant du violon !
Au fond de mon cœur !
Au printemps !
Au vent du bonheur !
Aurore !
Aussi longtemps que…!
Au gré des flots !
Aux quatre coins !
Avaries !
Avec toi !
Bain d’étoiles !
Baisers de soleil !
Bal de la vie !
Bal de Lucifer !
Bal d’hiver !
Bébé torrent !
Blessures !
Bois sombre !
Bonheur raisonné !
Bonne fête !
Bouquet de fleurs !
Bourrasques !
Bousculade !
Braise dormante !
Bruit dans la nuit !
Brume matinale !
Candeur d’enfance !
Capitaine bonheur !
Caprices d’automne !
Les casseurs de cailloux !
Ce n’est pas un monde !
Ce soir on danse !
C’est la faute du soleil !
C’est la vie !
C’est l’automne !
C’était hier !
Refaire les choses !
Chantez les fleurs !
Chanter les mots !
Château en péril !
Ciel chagrin !
Cœur brisé !
Cœur d’argile !
Cœur en liberté !
Cœur plein de promesses !
Coffret !
Coin secret !
Comme j’aime !
Comme la vie passe !
Concerts d’été !
Cortège de poudrerie !
Couchant de soleil !
Coucher soleil !
Coule le temps !
Couleur d’une pensée !
Court le temps !
Course infinie !
Courte flamme !
Courte vie !
Crier dans le désert !
Dans le pays du rêve !
Dans mes rêves !
Dans mon cœur !
De l’autre côté !
Demain !
Mon dernier poème !
Dernière couche !
Derniers reflets !
Des regrets !
Des souvenirs !
Détour !
Devenu grand !
Dis-moi ta peine !
Dis-moi !
Dites-moi !
Donne-moi !
Dormir pour rêver !
Doux creuset !
Doux désir !
Du temps des roses !
Eau avec toi !
Eau de Givre !
Eau de glace !
Eau de neige !
Eau de ta soupe !
Eau de ton bain !
Eau de ton sang !
Eau de vie !
Eau du ruisselet !
Échapper au froid !
Échos !
Obama !
Éloge de la femme !
En attendant !
En vieillissant !
Entre deux soleils !
Entre deux !
Entre matin et soir !
Équilibre !
Espoir d’un lendemain !
États d’âme d’un enfant !
Être bon avec soi-même !
Être libre !
Être parvenu !
Être un oiseau !
Faiblesse !
Faire place !
Féerie d’hiver !
Femme ou jardin ?
Fermer les yeux !
Festin !
Feuille aux vents !
Fin d’été !
Fleurs fanées !
Force en est de !
Fou de femme !
Frénésie !
Généreuse nature !
Germaine !
Germe de vie !
Glissant lentement !
Glisse mon radeau !
Glisser lentement !
Goutte de pluie !
Goutte de rosée !
Goutte d’eau !
Grisaille d’automne !
Hélène !
Hibernation !
Hier le lys a fleuri !
Hommage à la vie !
Humeur des vents !
Il a neigé dans mon cœur !
Il arrive !
Il est minuit moins quinze !
Il est quelque part !
Il est trop tard !
Il est un versant !
Il était une coutume !
Il était une fois !
Il faut que je te dise !
Il n’y a plus de neige !
Il peut neiger !
Il neige ce matin !
Pourtant !
Il y a des jours !
Intelligence de la nature !
Invitation à danser !
Invitation !
Isabelle !
Ivresse d’un jour !
Jacinthe !
J’ai le souvenir fuyant !
J’ai pour toi !
J’ai pour toi ! 2
J’ai rêvé cette nuit !
J’ai rêvé que j’étais roi !
J’ai rêvé !
J’ai tant pleuré !
J’ai trouvé mon étoile !
J’ai vendu mon cœur !
J’ai vu et entendu !
J’ai vu l’amour !
J’aime la poésie !
J’aime la vie !
J’aime le silence !
J’aimerais que…!
J’aimerais ! 2
Jardin dénudé !
Jardin fragile !
Jardiner les mots !
Je bâtirai maison !
Je crie mon bonheur !
Je ferai fi de la souffrance !
J’ai le souvenir fuyant !
Je ne t’ai pas dit !
Je possède la vie !
Je suis au soir de ma vie !
Je suis la terre !
Je suis l’eau !
Je suis seul !
Je suis !
J’écoute !
Jeter dans la mare !
Joëlle !
Journée de pluie !
Jus de glace !
La fête des amants !
La beauté de l’âme !
La beauté d’une mère !
La beauté !
La beauté !
La belle saison !
La bête ancestrale !
La clef du Bonheur !
La croisée des chemins !
La décadence !
La petite demoiselle !
La dernière fleur !
La dernière volée !
La destinée d’un peuple !
La douceur du temps !
La douceur d’un foyer !
La femme !
La fin du monde !
La fin d’un monde !
La frange de mon cœur !
La froideur de l’oublie !
La magie de l’esprit !
La maison est en feu !
La mère poule est inquiète !
La mère poule !
La musique !
La neige qui tombe !
La nuit !
Là où j’ai grandi !
La paix du cœur !
La pesanteur du jour !
La plus belle !
La poésie !
La solitude !
La sueur des ans (réflexion) !
La terre a soif !
La terre qui tangue !
La vie !
La vie continuera !
La vie est un mal !
La vie est une fête !
La vie nous fuit !
La vie pas toujours rose !
La vie qui s’éveille !
La vie quelle richesse !
La vie qui s’éveille !
La vie s’éveille ! 3
La Vie, quel enchantement ! (en acrostiche)
La vie quelle richesse !
La vie, la vie !
La vieille maison !
La vieillesse !
Laissons la nuit …!
L’alcôve disparu !
L’amitié !
L’Amour de la poésie !
L’amour défendu !
L’amour !
L’arbre !
Lassitude !
L’aube de la vie !
L’automne est arrivé !
L’automne !
L’avenir !
La Vie !
Le baiser !
Le berceau de son enfance !
Le blé !
Le bonheur !
Le bruit !
Le campagnard !
Le chant du grillon !
Le charnier !
Le chat est mort !
Le chemin !
Le chemin de ton cœur : pour Hélène !
Le ciel est bleu !
Le ciel pleure !
Le cliquetis !
Le cri de l’âme !
Ô printemps !
Le Départ !
Le dernier matin !
Le dernier verre !
Le désert ! 2
Le destin laisse des traces !
Le destin !
Le feu c’est éteint !
Le fruit de l’amour !
Le genre humain, quel dégât !
Le geste !
Le goût de vivre !
Le lieu là où l’on a grandis !
Le lilas et le muguet !
Le long de ma route !
Le long du chemin !
Le mauvais temps !
Le mois de mai !
Le néant !
Le non-dit !
Le pain de ma mère !
Le passé au présent !
Le pays du rêve !
Le poids de la vie !
Le poids de l’hiver !
Le poids de l’ombre !
Le Portugais !
Le présent !
Le printemps arrive !
Le printemps est long à venir !
Le printemps est revenu !
Le printemps !
Le rendez-vous !
Le retour du printemps !
Le rêve de ma mère !
Le roi !
Le saute-mouton !
Le Semeur !
Le siècle des problèmes !
Le silence des vieux !
Le soir !
Le soleil !
Le soleil est de retour !
Le soleil !
Le temps gris !
Le temps guérit tout…!
Le temps passe !
Le temps qui nous est donné !
Le temps temporel !
Le tourment !
Le train siffle !
Le vent balayeur !
Le vent du nord !
Le ver luisant !
Le versant !
Le vieil âge !
Le vieux banc !
Le vieux piano !
L’eau sur terre !
L’enfance perdue !
L’enfant perdu !
L’envers du malheur !
L’envol !
Les amitiés !
Les anges déchus !
Les années ont fait l’œuvre !
Les chemins !
Les cloches !
Les deniers temps !
Les derniers labours !
Les désastres !
Les fils de mon cœur !
Les flots du cœur !
Les intempéries !
Les mains tendues !
Les mal-aimés !
Les marées !
Les nouvelles !
Les pleurs !
Les portes du cœur !
Les prunes vont-elles encore mûrir ?
Les temps !
Les traces de la nuit !
Les vents !
Les vieux savent mourir !
L’espoir du lendemain !
L’été, l’été !
L’Être !
Étroite marge !
L’habitant est parti en ville !
L’hirondelle !
L’hiver dans la vallée !
De frimas les fenêtres sont couvertes.
L’hiver de la vie !
L’hiver est à la porte !
L’hiver me tue !
L’hiver !
L’île aux oiseaux !
L’inconnu !
L’inévitable !
L’instinct du chasseur !
L’oiseau a fait son nid !
L’oiseau c’est enfui !
L’oiseau voyageur !
L’ombre !
L’oubli !
L’oubli dans la vie !
L’outrage !
Louvoyer !
Dédicace
Ce livre est dédié à ma famille :
À ma compagne depuis toujours : Rose-Hélène, mes enfants : Yves, Louise René, Jocelyn. Mes petits-enfants : Laurence, Camille, Bénédicte, Chanyann, Joëlle, Gabriel. Mes arrières-petits-enfants : Rose-Élie, Billy. Aussi un remerciement tout particulier à Aline Fournier une amie.
PROLOGUE
Voici ce que mes deux livres contiennent, ce sont uniquement des poèmes de moi. Qui furent écrit tout au long de ma vie. Voilà pourquoi le titre est (Quatres Saisons de Poésie).
Tout au long de ma vie, j’ai su exprimer mes joies, mes peines, dans la poésie. Ce qui m’a aidé à passer au travers des plus dures moments de ma vie. À vous dire, que ces poèmes furent écrits pour moi. Et voilà, que je consens à mettre mes tripes au soleil.
À CHACUN SA COURSE !
Le passage sur terre est un voyage,
Il peut être parfois cahoteux.
Personne ne choisit son passage
Mais, j’ai cru parfois être heureux.
Le bonheur n’est pas assuré sur terre.
Chacun de nous poursuit sa course.
De vivre, il nous faut en être fier,
Car c’est elle qui nous pousse.
Quand J’aurai fini ma course,
Le glas sonnera.
Pour mon être plus aucune secousse.
Moi, je ne serai plus là.
Le passage sur terre est un voyage,
Il peut être parfois cahoteux.
Personne ne choisi son passage.
Mais, j’ai cru parfois être heureux !
À LA COURSE !
Un oiseau quitte son nid.
Une femme hors du logis.
Un cœur qui est en pleurs.
Un enfant qui a peur.
Partir pour le travail,
Il faut que l’on y aille.
Pour revenir,
Il faut partir.
Gagner son pain,
À l’usure de ses mains,
Il faut être valeureux.
À la fin, la femme est heureuse !
La femme de retour au logis,
Elle n’a jamais fini.
Elle est toujours à la course,
Même pour faire ses courses.
Faire le tour du monde,
En quelques secondes,
À la télévision,
Quelle commotion.
Un oiseau quitte son nid.
Une femme hors du logis.
Un cœur qui est en pleurs.
Un enfant qui a peur.
À LA FACE DU BLANC !
Moi, qui n’ai pas goûté au gâteau.
Moi, je me suis lavé au ruisseau.
Je n’ai jamais mangé de pain blanc,
Toujours dominé par des blancs.
J’ai couché dans l’écurie.
J’ai mangé avec la truie.
Je n’ai jamais eu de berceau.
Je n’ai jamais reçu de cadeau.
J’ai travaillé à tous les temps !
Je n’ai jamais eu de beaux vêtements.
Je gardais les troupeaux,
Je fus traité comme un pourceau.
Je n’ai pas connu mes parents,
Ni mes grands parents.
Mais, comme eux je fus esclave,
Comme eux, je n’ai pas connu de havre.
Moi, qui n’ai pas goûté au gâteau.
Moi, je me suis lavé au ruisseau.
Je n’ai jamais mangé de pain blanc,
Toujours dominé par des blancs.
J’aurai un jour mon château !
Je mangerai ce gâteau,
Et du pain blanc.
À la face du blanc.
À L’ÉCOUTE !
Écouter le silence,
Regarder les feuilles qui dansent,
Voir la campagne,
Du haut de la montagne
C’est un voyage miracle,
Qui enlève les embâcles,
De pouvoir aimer à l’infini,
Et d’en être marqué pour la vie.
Être marqué du signe de l’amour,
Ouvrir son âme pour toujours,
À la beauté,
À la sérénité.
Il est un art de vivre en harmonie,
Avec soi, ses proches, dans la vie,
De savoir effacer les nuages,
Dès qu’il y a orage.
Très belle prière !
Qu’en penses-tu mon frère ?
Faut-il être un moine Tibétain,
Pour aimer et faire le bien ?
Écouter le silence,
Regarder les feuilles qui dansent,
Voir la campagne,
Du haut de la montagne.
À QUEL NOM LA PAIX !
À quel nom rétablirons-nous la paix ?
Trouverons-nous un dieu assez puissant,
Pour mettre du baume sur toutes les plaies ?
Et faire danser toutes les nations en chantant !
Chanter au même accent, au nom de l’humanité !
L’orgueil de l’homme mène au désastre.
Il est temps de se réveiller, et apprendre à s’aimer,
Ce, pour toutes les nations, percer la cuirasse !
Les possédants du bien de cette terre,
Auraient à partagé avec les moins nanties,
Ceci, fait avec le respect de l’autre, et en être fier.
De cette manière la terre serait un paradis !
À quel nom rétablirons-nous la paix ?
Trouverons-nous un dieu assez puissant,
Pour mettre du baume sur toutes les plaies ?
Et faire danser toutes les nations en chantant !
À QUI LA CHANCE !
Une volée d’oiseaux vers le sud.
La poule ignore son nid.
La vie s’annonce rude,
Même dans le froid, il y a de la vie.
À l’automne, la vie a de l’avenir,
Car il n’y a rien de plus fort que la vie !
L’amour animal est à fleurir.
Même la sauterelle est de la partie.
La sauterelle s’endort pour l’hiver,
Dans un beau rêve, en faisant l’amour.
À qui la chance de pouvoir le faire ?
Vivre d’amour pour un si long séjour !
Une volée d’oiseaux vers le sud.
La poule ignore son nid.
La vie s’annonce rude,
Même dans le froid, il y a de la vie !
À VINGT ANS !
Quand j’avais vingt ans,
Je vivais sans soucis.
Mon amie était la vie,
J’avais tout mon temps.
Je faisais des rêves d’amour,
Je faisais des rêves fous.
Femme, je rêvais de vous,
Je vivais au jour le jour.
Un matin, je me suis réveillé,
J’ai constaté que la vie fuyait.
Une compagne me manquait.
Femme, je me mis à chercher.
Croyant être un érudit,
Je regardais avec déférence,
Celle qui mériterait ma confiance.
Je ne fus pas déçu, je vous le dis.
J’ai rencontré celle que je cherchais,
La