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L’ADN et le choix quantique: Guide pratique de reprogrammation des treize hélices au point zéro
L’ADN et le choix quantique: Guide pratique de reprogrammation des treize hélices au point zéro
L’ADN et le choix quantique: Guide pratique de reprogrammation des treize hélices au point zéro
Livre électronique430 pages3 heures

L’ADN et le choix quantique: Guide pratique de reprogrammation des treize hélices au point zéro

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À propos de ce livre électronique

Depuis la parution de L’ADN DÉMYSTIFIÉ, Kishori Aird a continué à développer de nouveaux protocoles de reprogrammation génétique en utilisant des techniques basées sur les concepts de la physique quantique.

Avec L’ADN et le choix quantique, elle nous invite à entrer dans le monde de l’infiniment petit et à adopter un mode de pensée qui envisage la coexistence de multiples possibilités. Elle explique en termes simples et précis des concepts tels que la vision quantique et le temps non linéaire.

Elle nous permet ainsi d’entrevoir que, non seulement le microcosme n’est pas statique, mais au contraire, qu’il se comporte différemment selon l’observateur. Kishori Aird nous propose de travailler avec les protocoles de ce livre et avec ceux de L’ADN DÉMYSTIFIÉ afin de pouvoir opérer des choix nouveaux et enrichissants et prendre des décisions plus judicieuses. En intégrant les concepts des protocoles, nous pourrons progressivement réintégrer l’unité essentielle dans notre code génétique.
LangueFrançais
Date de sortie17 févr. 2020
ISBN9782898034527
L’ADN et le choix quantique: Guide pratique de reprogrammation des treize hélices au point zéro
Auteur

Kishori Aird

Naturopathe professionnelle de formation, Kishori Aird est «une intuitive médicale» qui a vécu dans un ashram dès l’âge de 18 ans et a un long parcours spirituel derrière elle. Devenue Maître de reiki, elle s’est spécialisée depuis 1990 dans la kinésiologie. Elle a perfectionné cette technique en collaborant avec des chiropraticiens et des naturopathes. Et depuis l’été 1997, elles entreprend des recherches sur l’ADN et sur les moyens par lesquels le reprogrammer et se le réapproprier. Elle a notamment découvert que notre ADN possède un champ vibratoire et électromagnétique qui est sensible à nos intentions, et que, comme un ordinateur, il contient «des programmations par défaut» sur lesquelles ont peut agir par la pensée et que l’on peut modifier. La reprogrammation consciente de notre ADN est, selon Kishori, l’une des clés de l’Ascension.

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    Aperçu du livre

    L’ADN et le choix quantique - Kishori Aird

    Copyright © 2019 Kishori Aird

    Copyright © 2019 Éditions AdA Inc.

    Tous droits réservés. Aucune partie de ce livre ne peut être reproduite sous quelque forme que ce soit sans la permission écrite de l’éditeur, sauf dans le cas d’une critique littéraire.

    Éditeur : François Doucet

    Directeur de collection : Matthieu Fortin

    Correction d’épreuves : Matthieu Fortin

    Mise en pages : Félix Bellerose

    Conception de la couverture : Matthieu Fortin

    Photo de la couverture : © Gettyimages

    ISBN livre : 978-2-89803-450-3

    ISBN PDF : 978-2-89803-451-0

    ISBN ePub : 978-2-89803-452-7

    Première impression : 2019

    Dépôt légal : 2019

    Bibliothèque et Archives nationales du Québec

    Bibliothèque et Archives Canada

    Éditions AdA Inc.

    1385, boul. Lionel-Boulet

    Varennes (Québec) J3X 1P7, Canada

    Téléphone : 450 929-0296

    Télécopieur : 450 929-0220

    www.ada-inc.com

    info@ada-inc.com

    Participation de la SODEC.

    Nous reconnaissons l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du livre du Canada (FLC) pour nos activités d’édition.

    Gouvernement du Québec — Programme de crédit d’impôt pour l’édition de livres — Gestion SODEC.

    Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et Bibliothèque et Archives Canada

    Titre : L'ADN et le choix quantique / Kishori Aird.

    Noms : Aird, Kishori, 1955- auteur.

    Collections : Collection Arbre de vie.

    Description : Mention de collection : Collection Arbre de vie | Édition originale : Magog, Québec : Institut Kishori, 2005. | Tome 2.

    Identifiants : Canadiana 20190027223 | ISBN 9782898034503

    Vedettes-matière : RVM : Thérapies corporelles. | RVM : Kinésiologie—Aspect psychologique. | RVM : Choix (Psychologie).

    Classification : LCC BF702 A472 2019 | CDD 155.7—dc23

    Introduction

    L’ADN et le Choix Quantique est la suite de L’ADN Démystifié. Comme les protocoles se suivent d’un livre à l’autre, le premier protocole du présent ouvrage porte donc le numéro 18. Afin de tirer le maximum de bienfaits des protocoles, je recommande fortement à nos lectrices et lecteurs de procéder d’abord aux reprogrammations du tome I. Néanmoins, si L’ADN et le Choix Quantique peut être lu indépendamment de L’ADN Démystifié, il est délicat de commencer les protocoles à partir du tome 2.

    Dans L’ADN Démystifié, j’ai élaboré un mode de pensée qui nous permet de comprendre comment reprogrammer nos hélices grâce à des intentions conscientes émises au point zéro. J’ai d’abord clarifié ce qu’était le pouvoir de l’intention, qui englobe les deux pôles de notre pensée. En effet, en formulant une intention comportant à la fois un pôle positif et un pôle négatif, nous atteignons un pouvoir équilibré qui rend nos commandes plus magnétiques. Cette approche, qui s’inscrit en dehors de la dualité et englobe nos émotions tant négatives que positives, garantit l’efficacité de nos intentions. En acceptant à la fois notre côté sombre et notre côté lumineux, nous atteignons le point zéro, ce qui nous permet de modifier la structure de notre ADN grâce au pouvoir de l’intention au point zéro.

    Le point zéro est un espace situé au-delà des polarités positive et négative. Dans cet espace, le bien et le mal, la lumière et la noirceur, le bon et le mauvais ainsi que toutes les autres manifestations de la dualité coexistent en un point d’équilibre. Le point zéro n’est pas un état neutre ni statique. Il est multidimensionnel, en mouvement continu ; c’est le point central d’un espace en perpétuel changement. Si le point zéro est constamment en mouvement, c’est que la force positive de la lumière et la force négative de la noirceur y cohabitent sans s’annuler, malgré leurs polarités opposées.

    Selon moi, la meilleure façon de se représenter le point zéro est d’imaginer un ballon rempli d’eau, flottant au milieu de l’océan et ballotté par les vents, la pluie et les vagues. Le point zéro se situe au milieu de ce ballon : c’est un point en équilibre constant malgré les turbulences extérieures.

    On peut aussi imaginer le point zéro comme un point fictif au milieu d’une ligne droite bordée de part et d’autre par une polarité négative et une polarité positive, mais je préfère de beaucoup l’image de la sphère. Au point zéro, la force positive est optimale parce que son potentiel est stimulé par la présence de la force négative correspondante, de sorte que les deux forces conservent un équilibre parfait. Tels les deux pôles d’un aimant, nous pouvons donc imaginer deux forces opposées coexistant dans le même espace sans avoir à s’unifier.

    Le concept du point zéro, mais surtout l’intégration dans l’ADN de la charge magnétique négative de nos émotions, ont jeté les bases d’un nouveau paradigme. L’intégration des charges négatives est un processus puissant. Imaginez l’intensité de la charge de la colère accumulée depuis des années face à un parent violent. Si nous pouvions mesurer l’ampleur énergétique de cette colère, nous obtiendrions une force magnétique impressionnante. Une fois cette charge intégrée dans l’ADN, elle devient un pôle négatif formidable auquel nous pouvons agencer un pôle positif équivalent sans avoir besoin d’éprouver de la colère. Dorénavant, les agencements de ce type constitueront notre pouvoir de manifestation.

    Maintenant que la charge magnétique d’une émotion jadis troublante et paralysante peut devenir une force créative qui nous permet de concrétiser nos intentions au point zéro, nous ne verrons plus cette émotion comme une chose à combattre. Voilà pourquoi nous allons désormais formuler nos intentions sur le modèle suivant : « Je choisis… même si… ». Dans l’exemple : je choisis l’abondance même si je pense que je ne le mérite pas, j’utilise mon sentiment de ne pas mériter l’abondance pour créer un pôle négatif et amplifier le pouvoir magnétique de ma commande. Cette façon de formuler nos intentions fait qu’une nouvelle énergie circule et vibre littéralement à l’intérieur de nous. Elle nous procure une certaine sensation de pouvoir et nous permet de régler nos conflits très rapidement.

    En vertu du concept du point zéro, nous utilisons la charge magnétique d’une émotion négative comme l’un des pôles d’un aimant. Sa coexistence avec une charge positive génère alors un champ magnétique. Or, pour pouvoir manifester nos désirs sur Terre, nous devons associer nos commandes à un champ magnétique. Par exemple, si nous craignons d’être victimes d’une attaque terroriste en voyage, nous pouvons commander que notre voyage se déroule en toute sécurité ; lorsqu’une commande positive est équilibrée par une charge négative, elle a une plus grande portée.

    Pour faire suite à la théorie du point zéro, nous allons aborder, dans ce second tome, la théorie de la coexistence de réalités multiples. Pour cela, nous devrons d’abord passer du mode de pensée binaire « à deux hélices » au mode de pensée circulaire, au point zéro, « à treize hélices ». Nous sommes maintenant prêts à entrer dans un univers quantique multidimensionnel et multitemporel où la transmutation est possible.

    Selon la mécanique quantique, la matière agit en fonction de la personne qui l’observe. Pour ce qui a trait aux quarks, par exemple, nous sommes en présence de plusieurs possibilités, parfois contradictoires, qui coexistent jusqu’à ce que l’une de ces possibilités se concrétise grâce au pouvoir de choix de l’observateur. Ces multiples possibilités constituent l’étoffe de l’univers. En nous fondant sur ce modèle, nous allons reprogrammer notre code génétique de manière à pouvoir embrasser l’information inhérente à toutes nos expériences de vie.

    Depuis la parution de L’ADN Démystifié en mars 2002, j’ai continué à développer de nouveaux protocoles de reprogrammation génétique. J’ai d’abord voulu soutenir la démarche de mes étudiants qui aspiraient à devenir respiratoriens, c’est-à-dire à transmuter l’énergie pour se nourrir uniquement du prana de l’air. J’ai donc élaboré un protocole qui permet de recoder la mitochondrie. J’ai ensuite créé un protocole qui vise à reprogrammer dans l’ADN les codes de l’intelligence maximale qui se trouvent à l’état latent dans notre cerveau. Ma réflexion sur la seconde partie des protocoles de L’ADN Démystifié m’a fait comprendre qu’il était essentiel que nos commandes soient efficaces. J’ai donc conçu un programme qui vise à nous redonner notre pouvoir initial de commander.

    C’est à la suite d’une conférence sur la physique quantique et la guérison que j’ai inventé deux programmes : l’un permettant d’accéder aux multiples choix qui coexistent, selon la réalité quantique, face à la maladie, et l’autre, par rapport à notre quotidien. Puis la physique quantique m’a amenée à la multidimensionnalité en passant par le vide interstitiel et la théorie des supercordes. Ensuite, j’ai abordé la syntonisation du vide interstitiel avec la fréquence de notre Essence profonde ou de notre individualité.

    Les protocoles de l’Âme centrale et de la multidimensionnalité sont fondés sur l’idée de la coexistence de réalités multiples au sein de l’univers quantique. À partir des modèles de la mécanique quantique, j’ai extrapolé pour élaborer des protocoles qui utilisent des images similaires.

    Pour pouvoir imaginer qu’une certaine paix règne sur la Terre, nous devons évoluer de façon quantique et mettre à profit notre libre arbitre, afin de transformer notre façon de penser. Les événements sociopolitiques et planétaires m’ont confirmé le besoin imminent d’un changement de paradigme dans notre programmation génétique.

    Je vous invite à entrer dans le monde de l’infiniment petit et à vous réapproprier ses modèles pour pouvoir développer votre code génétique et adopter un mode de pensée qui envisage la coexistence de multiples possibilités.

    Je vous invite à entrer dans le monde quantique et à commander avec assurance, au point zéro, en faisant coexister vos peurs !

    Je vous invite à utiliser le modèle quantique pour commander : de nouveaux choix, de nouvelles possibilités, un horizon élargi, de nouvelles fréquences, moins de distorsions, et finalement, l’Amour de soi !

    Chapitre 1

    La physique quantique

    UN MONDE NON STATIQUE

    Dans ce chapitre, nous avons vulgarisé les concepts très complexes du modèle quantique afin de vous communiquer une vision plus fluide de la matière. La physique quantique est en constante évolution. Chaque découverte donne lieu à une nouvelle hypothèse et met en lumière de nouveaux liens. Nous avons tenté ici de simplifier les grands principes qui régissent le nouveau modèle de l’univers. Si ces théories vous semblent trop hermétiques, veuillez lire ce chapitre en retenant uniquement ceci : « La réalité n’est pas statique, elle se comporte différemment selon l’observateur, et il existe des mondes parallèles qui vibrent à des taux vibratoires différents de ceux de notre monde. »

    DÉFINITION DE LA PHYSIQUE QUANTIQUE

    Du seizième siècle jusqu’à la naissance de la théorie quantique, dans les années 1920, la physique classique s’est intéressée au comportement de l’univers microscopique et macroscopique qui pouvait être observé et interprété, et a tenté de l’expliquer en fonction des principes matérialistes. Elle s’est penchée sur le mouvement des corps terrestres et célestes, les atomes, le magnétisme, la gravité et la lumière. Avec l’apparition de la physique quantique et la découverte de la théorie de la relativité par Einstein, les physiciens ont compris que la physique classique ne pouvait pas expliquer les phénomènes subatomiques et cosmiques. Les principes de la physique moderne ont évolué et les physiciens ont adopté une interprétation beaucoup plus fluide de l’univers. Nous ne pouvons pas définir la matière avec certitude ; nous pouvons seulement présupposer sa nature et le fait que nos rapports avec elle influent sur notre interprétation.

    En effet, les lois de la physique quantique nous paraissent insolites et la matière, si elle n’est pas observée, existe sous plusieurs formes à la fois. Les physiciens modernes explorent ces lois quantiques et leurs applications. Ils affirment qu’avec un ordinateur quantique comportant seulement douze atomes, nous pourrions résoudre en quelques secondes des équations mathématiques que les ordinateurs les plus puissants mettraient des milliards d’années à solutionner. Les phénomènes quantiques découlent de possibilités multiples qui peuvent être perçues différemment selon l’observateur et chaque atome dispose de milliers de possibilités qui dépendent du contexte de l’expérience.

    LA THÉORIE DES CORDES

    La physique quantique s’intéresse à l’infiniment petit. L’atome, avec ses protons, ses neutrons et ses électrons, n’est plus l’élément de base de la matière. Il a été surpassé par les particules subatomiques, c’est-à-dire les quarks, les leptons, les muons, etc. À première vue, l’univers serait formé de cordes d’énergie enroulées sur elles-mêmes, qui vibrent à des fréquences bien spécifiques. Aujourd’hui, les physiciens nucléaires voient la matière comme un ensemble de fréquences vibratoires qui détermineraient la nature des cordes et de la matière.

    La théorie des cordes fait le lien entre la théorie de la relativité élaborée par Einstein et la physique quantique. Ces deux courants scientifiques sont à la fois complémentaires et contradictoires. Einstein s’est basé sur les lois de la nature existantes et sa théorie de la relativité décrit la structure de l’espace et du temps en fonction de l’invariance de la vitesse de la lumière. La relativité explique surtout le mouvement des astres, c’est-à-dire l’infiniment grand, tandis que la physique quantique s’intéresse au comportement des particules subatomiques, c’est-à-dire à l’infiniment petit. Il existe des divergences entre ces deux interprétations de la réalité. La mécanique quantique décrit notre façon d’observer la matière et les contraintes que notre observation impose aux lois physiques. Par contre, la théorie de la relativité interprète notre univers et son assujettissement au temps et à l’espace. Selon la théorie des cordes, tout n’est que fréquence vibratoire, que ce soit au niveau subatomique ou macroscopique. En vertu de cette théorie, la configuration et le contenu de l’univers sont définis par des fréquences vibratoires. La théorie des cordes fait le lien entre la mécanique quantique et la relativité en présentant les particules comme des cordes d’énergie enroulées sur elles-mêmes, qui vibrent à des fréquences bien spécifiques et ainsi constituent la matière. Chaque fréquence, qui comporte une masse et une énergie distinctes, donne à la matière son individualité. La matière est donc formée de cordelettes et c’est la fréquence vibratoire de ces cordelettes qui indique la nature des éléments quantiques. Chaque quark possède sa propre fréquence individuelle. Le taux vibratoire et la fréquence particulière de chaque type de quarks déterminent la nature de la matière.

    Or, pour que cette théorie soit mathématiquement plausible, les physiciens présupposent l’existence de vingt-six dimensions. Ces dimensions sont si minuscules qu’elles ne peuvent être décrites qu’à l’aide de mathématiques très complexes. Sur la Terre, nous évoluons à l’intérieur de trois plans : la hauteur, la largeur et la profondeur. Pour pouvoir comprendre le modèle de l’univers comme étant un monde vibrant à différentes fréquences « comme celles des cordes d’une guitare », il fallait pouvoir le conceptualiser au-delà de la hauteur, de la largeur et de la profondeur. L’univers ne se comporte pas partout selon le modèle en trois dimensions qui nous est familier.

    En résumé, les plus petits éléments de l’univers ne sont pas les particules subatomiques (protons, neutrons, électrons) ni même les mystérieuses particules nucléaires (quarks, leptons, muons, neutrinos). Selon la théorie des supercordes, les particules fondamentales de l’univers ne sont pas du tout des particules. Elles ressembleraient plutôt à des bouts de cordes vibrant à des fréquences bien précises comme celles d’une guitare. Ces fréquences vibratoires détermineraient la nature de la corde et, par conséquent, le genre de particules quantiques qui la composeraient. Tout dépend, en fait, de la fréquence vibratoire. En vertu de la théorie des supercordes, la forme et le contenu de l’univers tout entier sont déterminés par les fréquences vibratoires de chaque atome qui le compose. Ce concept vient corroborer la notion selon laquelle, en fin de compte, il n’y a aucune différence entre la matière et l’énergie. Chaque fréquence comporte une masse et une énergie distinctes. C’est la fréquence qui confère à la matière son individualité. En conclusion, rappelons-nous qu’au niveau quantique, la matière est formée de cordelettes dont les différentes fréquences en indiquent la nature. Ce n’est plus la nature chimique d’un élément qui est déterminant mais la fréquence vibratoire de ses cordelettes.

    LES DIMENSIONS

    Qu’entendons-nous au juste par « dimension » ? Au sens mathématique, la dimension est définie en termes de plans : largeur, profondeur et hauteur. Dans le modèle quantique, pour expliquer la nature des cordes énergétiques enroulées sur elles-mêmes en tant que fréquences vibrationnelles de la matière, il faut utiliser des mathématiques plus précises et des plans plus spécifiques que ceux de la troisième dimension. En fait, jusqu’ici, les scientifiques présupposent l’existence de vingt-six dimensions qui n’ont rien à voir avec la profondeur, la largeur ou la hauteur. Ce sont des artifices mathématiques impossibles à concevoir.

    Si nous pouvions observer un arbre à partir d’une autre dimension qui engloberait le temps non linéaire, nous le verrions non seulement dans sa forme actuelle, mais aussi tel qu’il était, petit. Dans ce contexte, les dimensions permettent de saisir la réalité sous des angles plus variés.

    Sur le plan spirituel, les dimensions correspondent à des états de conscience. La quatrième dimension, par exemple, décrit l’état christique. Les dimensions spirituelles n’ont aucun rapport avec les dimensions mathématiques. Elles définissent plutôt des réalités qui peuvent vibrer à des fréquences différentes.

    LE CHAT DE SCHRÖDINGER ET LES MONDES MULTIPLES

    Nous savons maintenant que, en vertu de la théorie quantique, la matière est déterminée par des fréquences vibratoires. Nous allons exposer ici comment elle existe simultanément à plus d’un endroit à la fois.

    La théorie des multiples univers propose une vision de la réalité qui serait simultanée et en résonance. Pour illustrer la coexistence de multiples possibilités, les vulgarisateurs utilisent fréquemment l’exemple du chat de Schrödinger (ainsi nommé d’après son concepteur). Imaginons que nous enfermons un chat dans une boîte scellée. Cette boîte contient également un atome radioactif qui se décompose. Lorsque le niveau de radiation sera assez élevé, il activera un mécanisme qui tuera le chat. Tant que la boîte reste fermée, toute hypothèse sur la vitesse de décomposition de l’atome est basée sur des prédictions qui sont elles-mêmes fondées sur des probabilités antérieures. Or, il est impossible de savoir précisément à quel moment l’atome aura émis assez de radiations pour tuer le chat. L’atome est donc à la fois désintégré et entier. Comme sa vie dépend de l’état de l’atome, le chat est donc à la fois mort et vivant. Les deux possibilités coexistent.

    C’est en ouvrant la boîte que nous verrons si le chat est mort ou vivant. Tant que nous ne l’avons pas ouverte, ces deux états coexistent. C’est l’observateur extérieur (nous) qui concrétise la réalité du chat en ouvrant la boîte.

    Qu’est-ce qui dicte cette réalité ? Certains théoriciens décrivent l’existence de mondes multiples pour expliquer la coexistence de multiples possibilités. Revenons à l’exemple du chat. Une fois la boîte ouverte, il existe deux univers parallèles : un univers dans lequel nous constatons que le chat est mort et un univers dans lequel nous constatons qu’il est vivant. Il y a un dédoublement d’univers pour chaque possibilité quantique susceptible de se concrétiser.

    Supposons maintenant que nous cherchons un électron dans une maison plongée dans une obscurité totale. De trois choses l’une : l’électron se trouve dans la cuisine, dans la salle de bains ou dans le salon. Tant que nous n’avons pas allumé, l’électron existe dans les trois pièces. Au moment où nous allumons, nous concrétisons son emplacement. À ce moment-là, trois univers se créent et coexistent : dans chacun de ces univers, l’électron se trouve à un endroit différent – cuisine, salle de bain ou salon. Nous aussi sommes simultanément présents dans chacun de ces univers. Chaque incarnation est inconsciente de l’existence des univers autres que le sien. Il faut imaginer que le « soi » qui regarde l’électron dans la salle de bain est inconscient de celui qui regarde le même électron qui a un tout autre comportement dans le salon !

    La conclusion logique de tout cela est que toutes les possibilités se concrétisent et coexistent dans des univers parallèles, indépendamment les uns des autres. Nous pouvons donc concevoir que le lieu où nous nous trouvons en ce moment existe simultanément dans un nombre illimité d’univers et que des réalités différentes y sont manifestées. Toutes les possibilités sont non seulement plausibles, mais elles sont également disponibles selon le choix de l’observateur. C’est ce qui laisse concevoir que nous puissions interagir avec elles en opérant de nouveaux choix.

    Chacun de ces mondes vibrerait sur une fréquence différente et correspondrait à une réalité précise ; cette réalité existerait dans une autre dimension en même temps que la réalité propre à la troisième dimension. Imaginons une grille cosmique dans laquelle chaque point représenterait un moment et un espace dans un univers donné et vibrerait à une fréquence unique. Imaginons ensuite que nous nous trouvons sur un point d’une ligne située dans la troisième dimension. Pour accéder à un point d’un autre univers et d’une autre dimension, nous n’aurions qu’à modifier notre fréquence vibratoire. Les mondes ne sont pas alignés de façon linéaire. Ils coexistent dans des espaces différents et simultanés et seul leur taux vibratoire les distingue. Il existe un nombre infini d’univers qui sont tous en contact les uns avec les autres par le truchement des cordes.

    Schéma de la grille

    LA DIFFÉRENCE ENTRE MONDES MULTIPLES ET DIMENSIONS

    La différence entre les mondes multiples et les dimensions est la suivante : les mondes multiples recèlent des réalités simultanées vibrant à des fréquences différentes, tandis que les dimensions nous permettent de concevoir ou de lire la réalité sous un angle plus vaste. Malheureusement, certains auteurs confondent les deux. Cela est fort compréhensible, car la matière nous apparaît seulement en quatre dimensions (hauteur, largeur, profondeur et temps) même s’il en existe d’autres. Prenons l’exemple d’un crayon qui transperce une feuille de papier. Si un être vivait à la surface de la feuille et ne percevait que deux dimensions (largeur et profondeur), il

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