Explorez plus de 1,5 million de livres audio et livres électroniques gratuitement pendant  jours.

À partir de $11.99/mois après l'essai. Annulez à tout moment.

Lettres à l'abbé Lemonnier: 1765-1779
Lettres à l'abbé Lemonnier: 1765-1779
Lettres à l'abbé Lemonnier: 1765-1779
Livre électronique37 pages22 minutes

Lettres à l'abbé Lemonnier: 1765-1779

Évaluation : 0 sur 5 étoiles

()

Lire l'aperçu

À propos de ce livre électronique

Extrait : "Monsieur et cher abbé, si j'avais un service à vous rendre, je ne manquerais pas d'aller chez vous ; mais j'en ai un à vous demander et il faut vous en ménager toute la bonne grâce ; donnez-vous donc la peine de venir chez moi."
LangueFrançais
ÉditeurLigaran
Date de sortie26 janv. 2015
ISBN9782335017045
Lettres à l'abbé Lemonnier: 1765-1779

En savoir plus sur Ligaran

Auteurs associés

Lié à Lettres à l'abbé Lemonnier

Livres électroniques liés

Fiction générale pour vous

Voir plus

Catégories liées

Avis sur Lettres à l'abbé Lemonnier

Évaluation : 0 sur 5 étoiles
0 évaluation

0 notation0 avis

Qu'avez-vous pensé ?

Appuyer pour évaluer

L'avis doit comporter au moins 10 mots

    Aperçu du livre

    Lettres à l'abbé Lemonnier - Ligaran

    etc/frontcover.jpg

    EAN : 9782335017045

    ©Ligaran 2015

    Notice préliminaire

    Cet abbé Le Monnier, que Diderot rencontra chez les dames Volland et dont il resta l’ami jusqu’à la fin, est une agréable figure de rimeur, d’humaniste et de philanthrope. Mais il a expié le tort d’avoir écrit des fables après La Fontaine et d’avoir traduit Perse et Térence qu’on ne lit plus guère aujourd’hui, même dans une traduction. Quant à la Fête des bonnes gens, elle n’a point survécu à ses fondateurs. Parler de Le Monnier, c’est donc ajouter un chapitre à cette histoire des oubliés et des dédaignés de la littérature que chaque siècle laisse à faire après lui.

    Guillaume-Antoine Le Monnier naquit à Saint-Sauveur-le-Vicomte (Manche), en 1721. Après ses études commencées à Coutances et achevées au collège d’Harcourt, il fut nommé, en 1743, chapelain de la Sainte-Chapelle, où, pour 1 400 livres par an, il enseignait aux enfants de chœur le plain-chant et le latin. Plus tard, une épître, fort gentiment tournée, à son archevêque lui valait une pension de 800 livres qui le garantissait, disait-il, « de la faim comme de l’indigestion ». La maîtrise et la classe ne l’empêchaient pas de se lier avec Diderot, Grétry, Raynal, « qui l’appelait le meilleur des hommes », Élie de Beaumont, Greuze, Moreau le Jeune, Sophie Arnould,

    …… Le Carpentier,

    Cochin, Perronet, Gendrier,

    Et de leurs pareils quinze ou seize,

    Qui sont amis chauds comme braise,

    Non content de corriger le Dialogue sur la raison humaine, qui est la première œuvre imprimée de l’abbé, Diderot relisait, la plume à la main, ses deux traductions, et leur cherchait un éditeur. Le Monnier l’en remerciait par une fable dont

    Vous aimez cet aperçu ?
    Page 1 sur 1