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L'Âme des autres
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Livre électronique152 pages1 heure

L'Âme des autres

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À propos de ce livre électronique

"L'Âme des Autres" est un livre écrit entièrement par clairvoyance.
L'auteur livre ici un contenu proche de livres connus pour délivrer un message occulte, ésotérique ou tout simplement humain. Le mixe des genres pour un premier livre sans étagères, qui vole là ou les Âmes discutent entre-elles. La plongée au plus profond de soi et une rencontre face à face avec Soi. L'Âme en redemande et le lecteur s'impatiente de reprendre son souffle... Ce livre s'adresse davantage à ceux qui accepteront de lâcher la compréhension mentale pour se laisser bercer dans un landau à l'eau de rose, une rose à la boutonnière et une dans le cœur. L'amour, quoi !
L'Âme est d'accord et conservera ce livre précieusement. Bonne lecture, et souvenez-vous, ce n'est qu'un livre, et pourtant...

LangueFrançais
ÉditeurStéphane M
Date de sortie26 sept. 2014
ISBN9781310518560
L'Âme des autres
Auteur

Stéphane M

Stéphane M est un auteur écrivant par clairvoyance exclusivement. Il manie les mots comme on peint des lettres, exquis au toucher et inaudible à première vue. À double sens et souvent plus, les mots et phrases s'alignent le long d'un stylo trempé à l'encre de son cœur, sans son, dans le silence intérieur. Poétique souvent, mystique c'est sûr, maniant la dérision et l'exactitude du propos dans l'insolence de la perception Un. Le Verbe se joue de lui, parfois, et l'éclabousse de ses propres turpitudes jusqu'à révéler au lecteur, à la lectrice, sa propre intériorité qui se mettrait à jour devant ses yeux. L'Âme en redemande et... les lecteurs et les lectrices aussi.

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    Aperçu du livre

    L'Âme des autres - Stéphane M

    l y a un an, j’ai rencontré un ange. Je lui ai parlé, et il m’a raconté une histoire. Je vous la livre sans corrections, additifs, restrictions ou censures bien-pensantes.

    Je suis un ange qui écrit par l’intermédiaire d’un homme tout simple, en apparence tout du moins. J’écris une histoire qui fera le tour du placard ou restera au fin fond de la terre, l’avenir le dira. Je me livre à toi, homme ou femme de bonne foi. Toi qui entends cela ou qui lis cet écrit, sache qu’il se lit de l’intérieur. Mettre des mots sur une expérience mystique est inintéressant pour sa compréhension. La vivre exige un tempérament qui s’affiche en plein jour, une fois l’heure venue.

    J’ai tout dit, si ce n’est que le plus important à dévoiler dans ce livre n’est pas son contenu, mais bel et bien son contenant. C’est l’énergie cosmique, éthérique, invisible qui englobe chacune de ces lignes et qui mettra le feu aux poudres en vous, à l’intérieur. Si ce n’est pas le cas, si vous ne le ressentez pas ainsi, refermez ce livre et donnez-le au premier SDF au coin de la rue. Il saura quoi en faire. Un tréteau pour le poser, une coupe dessus et une obole bienvenue.

    Introduction

    es Âmes disent qu’elles ont compris la vie d’ici et nous nous acharnons à ne pas écouter leur message. J’apprends comme vous. Je suis humble vis-à-vis de moi et des autres. Trop parfois et pas assez, souvent.

    J’écris un livre pour toucher le plus grand nombre et parce que cet exercice me plaît. Je suis mon premier lecteur. Un seul, c’est bien. Plus, c’est du bonus, alors je publie ce livre pour apprendre. Apprendre à recevoir la critique, à ne pas me sentir vulnérable à l’influence inopportune de ma petite voix qui n’y croit pas. J’apprends à écrire une histoire. Du plus profond de moi-même, elle jaillit, tel un torrent qui rompt toutes ses chaînes, de bas en haut, de droit divin en travers humains.

    J’écris sans reconnaître le sens de la phrase qui s’annonce. Qu’elle ait un sens ou pas ne me concerne pas. Je ne me censure pas. J’écris. Je ne réfléchis pas. J’écris. Je n’ordonnance pas. Je n’annonce rien. J’ai appris à le faire sans jugement aucun, alors voilà je me lance cette fois dans l’écriture absolue, sans limites, sans ego, sans jugement de moi-même. Je saute dans le vide, pour la première fois.

    Chapitre I

    La rencontre de nos aïeux.

    Ils n’étaient pas beaux,

    mais nous les aimons tout de même.

    ci-bas, tout est beau. Là-haut, tout est beau. Moi, je suis la plus belle et toi le plus beau. Alors, pourquoi tant de haine, de malheurs, de désespoir, de souffrances sans limites ?

    Je m’explique.

    La Terre est un tout petit espace d’oxygène dans un univers si grand que les étoiles ne veulent plus en parler, tellement elles ne peuvent voir l’infiniment grand.

    J’applaudis quand même la performance. Les télescopes et autres instruments de mesures qui ne trompent personne quant à l’immensitude(1) du Cosmos. Un jour, je me suis retrouvé à l’autre bout et j’ai compris que je n’avais marché que le temps d’un instant pour parcourir l’immensité du Cosmos : j’étais en moi-même. Arrivé là d’où je suis parti. Quelle performance !

    Pas facile pourtant de mesurer à quel point l’immensitude du temps ou de l’espace n’a d’égal que le temps que nous mettons à ne pas parcourir cet espace qui n’existe que dans le cœur de ceux qui ne veulent pas le voir de leur vivant. C’est un choix respectable. L’autre choix l’est tout autant. Celui qui veut voir, apprendre, entendre, savoir et entreprendre le chemin qui mène à Soi, peut le faire seul, sans guide, sans mystico-thérapie, sans nettoyage éthérique, sans chaman qui souffle sur le feu divin intérieur. Chacun est libre de prendre la voie qu’il souhaite pour y arriver. Je choisis la plus rapide. Celle qui passe par Soi en soi. Celle qui conduit l’humain, homme ou femme, à ne plus se voir comme un être étant l’extension du Divin, juste un être dans sa complexité et son amour pour la vie tout entière, sans exclusion aucune.

    Tout aimer est la clé de la réussite de sa vie. Ce livre explique pourquoi et fait le lien manquant entre la réalité de la vie vécue et l’illusion d’un Dieu inachevé, qui n’aurait pas compris l’inutilité de la souffrance sur Terre et au-delà des mers.

    L’amour a ceci de remarquable, c’est qu’il s’écrit à quatre mains, parfois plus, mais jamais moins. Je parle d’amour physique, charnel. Éternel pour les uns et abscons pour tant d’autres. L’amour se lit sur le visage de l’être aimé comme un reflet de notre propre visage intérieur.

    « Je m’aime », sont les mots qui libèrent de tous les maux. « Je m’accepte tel que je suis et je renvoie à moi-même le reflet que l’autre génère à travers ma rencontre », est une clé d’évolution absolue par l’extérieur. La phrase clé se lit à plusieurs niveaux. À chaque étape, on y découvre une façon de progresser. Une façon d’appréhender la vie plus simplement, plus facilement... Une fluidité me remplit au fur et à mesure que le chemin s’éclaircit. J’aime parler, écrire, jouer et rire de tout. J’aime être entier de moi-même, de l’intérieur, et observer le monde sans peur aucune. La liberté a ce prix. Il se paye cash, en l’espèce.

    Être libre, c’est jouir du moment présent sans redouter l’absence d’un être cher, l’angoisse de la facture inédite, de la recette malsaine et les étreintes à l’eau de rose. Le vrai joue du violon quand l’amour s’inscrit dans la profondeur de l’Être. Le vrai se révèle en entier, sans ombrage, sans demi-mesure. « Je suis », s’annonce sur le chemin comme étant le but ultime de la vie bien incarnée. J’aime la vie. J’aime tout. J’ai tout compris lorsque j’ai vécu la véracité de l’amour établie en moi. Ses effets. Ses résultats. Son appel incessant à vivre cette vie. J’ai aimé l’être absent et tant désiré pourtant, jusqu’à m’en libérer du plus profond de mon sang. Dans mes veines tout est fluide. Les accroches et anicroches sont parties faire un tour au-delà de moi. Je suis libre... libre !

    L’amour est un outil miraculeux pour les personnes qui cherchent, qui sont en quête d’une vérité, de la Vérité, comme ils aiment à le penser. J’ai abandonné ce chemin-là, cette quête de vérité absolue, cette illusion de l’Esprit bienveillant qui ne bute que sur son propre reflet : un ego bien-pensant, qui saurait. La Vérité ultime dont l’unique détenteur serait soi. Un bien bel ego, il est vrai. Je n’ai plus de références, de croyances mystiques ou autres... juste un brin de vie que je tiens entre mes dents.

    Une façon de dire, je crois, que la vie est faite pour être vécue. Ni pour être analysée, ni pour être jouée, par peur de la vivre vraiment. Un jour, toute idée tombe par terre et même vivre la vie n’a plus de sens. Être soi suffit amplement. « Je suis », résume un sens que l’on ne donne pas, car il n’est de sens qui ne s’annule, se mystifie, se raréfie et disparaisse du plus profond des océans au plus sombre des satellites de la galaxie. L’œil humain voit là où l’œil terrestre est aveugle. La lumière rend aveugle les sourds mais pas les muets. « Je ne m’exprime pas, je dis », entonne la coccinelle avant de chanter son hymne favori : Mon amour à la vie. Je l’apprends chaque jour. L’amour se développe en moi au fur et à mesure que ces lignes sont lues par vous et d’autres, au fur et à mesure que j’écris, que je partage et m’abstiens de toute réflexion. « Je suis », est le message du cœur aux velléités de l’esprit de contrôler mon corps. Il m’appartient, mais n’est pas à moi. Il est à moi, mais je ne suis pas présent en lui.

    Une limite qui dénote un caractère inadéquat pour vivre une vie entièrement heureuse. Comment ne pas se sentir aimé, ou plutôt comment ne pas accepter d’être soi quand on s’est disloqué à la naissance pour ne pas naître, pour ne pas être, pour ne pas être absent même si le corps est là. J’aime être un homme présent à ce monde même si je n’y trouve pas le goût que j’attends depuis si longtemps. Ce goût a un nom. Un amour féminin et sensuel.

    Une femme masculine au possible n’a pas pris le temps de s’incarner dans son corps de femme. Elle a oublié un détail : « Je suis », à chaque niveau de moi-même, une femme. Je ne viens pas ici incarner la complétude, le caractère universel du genre masculin-féminin réuni, mais une face de ce Tout. Une partie, masculine ou féminine, je fais mon choix et j’aime ce choix. Toute velléité de couvrir le spectre du possible relève d’un choix démesuré, impossible à vivre dans une incarnation. Un choix qui n’appartient pas à ce plan de conscience. Un autre temps. Un autre espace. « Lequel ? » me diriez-vous. Puisque tout cela n’est qu’illusion et que le temps est celui qu’il faut pour s’accueillir en soi et l’espace, celui nécessaire à se parcourir de l’intérieur.

    La complétude s’annonce riche dans la séparation. Le Divin en soi fait bien les choses. Il sépare pour mieux réunir, comme une inspiration précède et suit l’expiration du cœur. Le tout formant la respiration, et donc la vie. Le temps précède l’espace. Celui-ci précède le temps. L’ensemble formant la vie d’une autre dimension, une vie plus riche aux yeux des malvoyants que nous sommes. Le temps a tout vécu, l’espace a tout vu, su et entendu. Les deux se réunissent en Un. Un seul son de cloche, une seule élite, une seule vie simple. Un livre, une lecture. Un lit, un sommeil. Une enclume, un marteau. Tout se lie selon une logique, tout a un sens dans un libre

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