Le mercredi 26 juin, la cour d’appel de Paris a validé le mandat d’arrêt international émis en novembre 2023 et visant le président syrien, accusé de complicité de crimes contre l’humanité. Il était poursuivi en France pour les attaques chimiques dans la Ghouta orientale, une banlieue de Damas, qui avaient causé la mort d’un millier de civils en août 2013. L’instruction était menée par des juges du pôle Crimes contre l’humanité du tribunal judiciaire de Paris.
L’affaire n’est, comme la qualifient les parties civiles, et qui pourrait donner lieu bientôt à un procès du dirigeant syrien sur le territoire français, autre grande première.