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Voilà, c’est fini. C’est en tout cas ce qu’affirme Jussi Adler-Olsen au sujet de ses fameuses (et multiprimées) . Entamée en 2007 (pour une première traduction française en 2011), cette série de thrillers a su séduire les lecteurs du monde entier, particulièrement friands des frissons scandinaves depuis le succès mondial de de Stieg Larsson. En s’emparant du canevas classique – et toujours efficace – des vieux dossiers à rouvrir par une équipe de fins limiers, l’écrivain danois n’imaginait pas forcément devenir une vedette du genre. Mais, dès le premier volet, , le public a aimé le duo formé par Carl Morck, l’inspecteur bourru, et son assistant a priori d’origine syrienne, Hafez el Assad. Ces spécialistes malgré eux des , révélant la face la plus obscure des individus – passons sur les considérations politiques –, ont été rejoints au fil des épisodes (, , , …) par d’autres « experts » – Mona la psy, la mystérieuse Rose ou le malicieux Gordon. Pour cet ultime volume, nous retrouvons Carl, alors qu’il venait de régler le dossier de la tueuse en série Sisle Park et de sauver Gordon (alors pris en otage), dans la situation compliquée révélée à la fin de : accusé d’être mêlé à une sombre affaire, il est en effet envoyé à la principale prison de Copenhague. Un lieu dont il connaît bien certains pensionnaires, qu’il n’a guère envie de croiser. Véritable « bête en cage », combien de temps Carl va-t-il rester dans cette satanée cellule 437 ? Sera-t-il dans d’autres geôles ? Alors que tout le monde – ou presque – le croit coupable, il peut compter sur ses collègues pour, peut-être, le sortir de cette situation périlleuse. Où les ennemis sont partout. Les d’adieu :