Bordeaux (Gironde), le 21 juin
Quelques semaines plus tôt, en cachette, il avait prélevé de la salive de son enfant avec un coton-tige et adressé l’écouvillon à une société spécialisée, en Grande-Bretagne. “Même si c’est illégal en France, j’ai trouvé un kit ADN à l’étranger”, résume-t-il. Furieuse de l’apprendre, sa compagne de l’époque est partie avec l’enfant chez sa mère. “Je n’avais pas le choix. J’avais besoin de savoir avant