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Ils portent le nom de Physiopolis, Héliopolis, Sparta Club, Montalivet ou le Cap d’Agde. Certains accueillent encore du public, d’autres ont disparu, engloutis dans l’Histoire et la nostalgie. Des lieux qui incarnent l’utopie naturiste, toujours vivante et dynamique, qui, après avoir versé dans la ringardise après son apogée dans les années 60, séduit aujourd’hui les jeunes générations. Le Mucem, en partenariat avec la Villa Noailles et l’Université de Paris, consacre à, la première en France au sein d’un monument national. avance Jean-Pierre Blanc, directeur de la Villa Noailles, l’un des commissaires de l’exposition et lui-même pratiquant. Une île que le fondateur du Festival international de mode, de photographie et d’accessoires de Hyères découvre il y a vingt-cinq ans. Et qui reste l’un des derniers paradis perdus des naturistes.