![f0050-01.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/1bi39d0e2ocov9h2/images/filePGJ963HC.jpg)
![f0050-02.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/1bi39d0e2ocov9h2/images/fileOJVCBCHA.jpg)
![f0050-03.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/1bi39d0e2ocov9h2/images/file9XCW4DNC.jpg)
![f0050-04.jpg](https://article-imgs.scribdassets.com/1bi39d0e2ocov9h2/images/file1GDKFZTA.jpg)
Sam Baron récidive, dispensant de nouvelles fleurs vénitiennes. Il avait déjà imaginé avec Berengo Studio et son fondateur Adriano Berengo une guirlande printanière, à partir des éléments d’un lustre en verre de Murano. En siècle, classée monument historique, restée intacte. Le designer est un intime depuis plus de vingt ans des verreries de Murano et plus spécifiquement de celle de Massimo Lunardon, qui lui a présenté par la suite Adriano Berengo. Pour ce troisième chapitre, entre Venise et Paris, il collabore avec les deux. Massimo Lunardon souffle ou travaille à la flamme le borosilicate, un verre très cristallin, quand l’équipe de maîtres verriers de Berengo Studio pratique les techniques de la pâte de verre, de la feuille d’or et du , entrelacement d’un filigrane rappelant la dentelle. En relisant et en réinterprétant des savoirfaire traditionnels, Sam Baron questionne l’existence même des objets. Les graines sont semées.