![f0006-01](https://article-imgs.scribdassets.com/3kvs7gfclccov90u/images/fileZ811SW3X.jpg)
La France condamnée pour avoir traité indignement des réfugiés harkis
Le 4 avril, la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH) a condamné la France à verser 19518 euros à quatre représentants de la famille Tamazount. Réfugiés après l’indépendance de l’Algérie en 1962 ou nés dans l’Hexagone, ces enfants de harkis, les supplétifs de l’armée française, avaient été internés jusqu’en 1975 au camp de Bias (ci-dessus), dans le Lot-et-Garonne, où les conditions de vie, a estimé la Cour, « n’étaient pas compatibles avec le respect de la dignité humaine et s’accompagnaient en outre d’atteintes aux libertés individuelles ». Les plaignants dénonçaient l’enfermement, l’ouverture des courriers et des colis par l’administration ou encore le détournement des prestations sociales vers les caisses du camp.
CES ÉPÉES ÉQUIPAIENT DES SOLDATS CHINOIS CONTEMPORAINS D’ALEXANDRE LE GRAND
Ces six épées et ce fer de lance en bronze parfaitement préservés datent des Royaumes combattants (475–221 av. J.-C.), l’époque qui précède la première unification de la Chine sous l’empereur Qin Shi Huangdi. Annoncée en mars, cette belle découverte a été réalisée par les archéologues de l’Institut des reliques culturelles et d’archéologie de la province de Hubei et de la ville de Xiangyang, en Chine centrale. Les excavations réalisées près du village de Dengcheng ont révélé un complexe