« En avril dernier, j’ai bouclé à Paris mon premier marathon en 3 heures et 8 minutes, alors que j’avais passé des raconte l’ostéopathe Lorris Gellé, qui fait aussi de la préparation mentale pour les athlètes (@lorrisgelle). S’il court régulièrement, il n’avait pas suivi l’entraînement classique de celles et ceux qui se préparent aux 42,195 km. Son dépassement, il l’analyse par sa disposition mentale. Il a notamment découpé la course en dix blocs de 4 km, de manière à créer des paliers d’objectifs faciles à atteindre. Ce que l’on appelle le il l’a anticipé. pointe l’ostéopathe, qui ajoute que sourire quand l’effort est très dur est aussi un moyen éprouvé de tromper son cerveau et d’associer le plaisir à la difficulté. Ces techniques, on peut les employer dans la vie de tous les jours, dans tous les domaines.
