Paris Match. Karine Lacombe a confié à Paris Match (numéro du 11 avril) que vous aviez été la seule à reconnaître Patrick Pelloux dans son livre sorti en octobre dernier…
En novembre 2017, l’Élysée avait lancé la grande cause du quinquennat sur les violences faites aux femmes et il était invité. J’étais au premier rang et, quand il est monté sur scène, la grande majorité des femmes présentes se sont mises à tousser ostensiblement, comme si elles s’étouffaient. Je ne connaissais Patrick Pelloux que par la télévision et j’ai demandé des explications autour de moi. Un ancien conseiller de Roselyne Bachelot à la Santé m’a alors confié qu’il avait été exfiltré de Saint-Antoine en 2008 en raison de son comportement avec les femmes [Pelloux conteste ses accusations]. Il avait été recasé au Samu de Paris où il était moins en contact avec des jeunes filles vulnérables. J’avais gardé en tête cette information, même si je n’ai jamais eu de remontées à son égard. Je n’en ai d’ailleurs pas eu