Faire confiance à un “pro” de l’auto, plutôt qu’à un particulier, représente, pour nombre de Français, la voie de la sagesse. Ne serait-on pas mieux protégé d’une potentielle mauvaise surprise, d’un vice caché ou autres défauts de conformité en faisant appel à quelqu’un qui a des devoirs et une réputation à tenir ? A priori oui. Sauf que, dans la vraie vie, on peut aussi tomber sur un vendeur peu scrupuleux ou sur un concessionnaire (même bien implanté) qui use et abuse de pratiques dans la limite de la légalité.
1 re erreur : acheter son auto à Pétaouchnok sans s’y connaître
Selon la région où l’on habite, on n’a parfois pas d’autre choix que de rechercher un véhicule – d’occasion notamment – à plusieurs centaines de kilomètres de chez soi. Ce qui n’est pas sans risques, même quand on est persuadé d’avoir déniché l’affaire du siècle. Et a fortiori lorsqu’on ne connaît rien à l’automobile. Car, une fois sur place, même si le modèle déçoit (il ne correspond pas à la petite annonce et