Durant vingt-huit mois, Stanislav Asseyev a « séjourné » au 3, rue du Chemin-Radieux. A cette adresse, dont le nom fait référence à la promesse de Lénine d’un avenir meilleur grâce au communisme, se trouve une usine de Donetsk, transformée en centre artistique avant la guerre du Donbass, en 2014. D’apparence banale, cette zone industrielle accueille l’un des plus importants centres de torture du système répressif russe : Isolatsia.
Pour Stanislav Asseyev, victime de torture,« la justice existe encore »
Feb 21, 2024
2 minutes
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