« Tu veux perdre tes os ? » C’est une phrase qu’Alexandra, 26 ans, entend souvent dans son entourage quand elle émet l’idée de perdre un peu de poids : « Je fais un bon 40, je n’ai pas de problème avec mes rondeurs sauf celles de mon visage, raconte-t-elle. J’ai l’impression de renvoyer ». C’est dans cette petite phrase qu’on entend les limites du body positivisme. Ce mouvement, né vers la fin des années 1980 et le début des années 1990 aux États-Unis, parlait initialement de poids, d’anorexie et de boulimie dans des petits livrets. « », retrace Marine Creuzet, autrice du livre (L’Harmattan, 2021).
Le body positivisme cherche sa nuance
Feb 22, 2024
4 minutes
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