es tracteurs redémarrent, les campements éphémères disparaissent et le trafic reprend. Après les annonces gouvernementales sur l’agriculture, le 1 février, les manifestants ont reçu l’ordre de libérer les routes de France, occupées depuis plusieurs jours. Le mouvement aurait pu s’étendre au-delà des exploitants. Il a été question que les artisans du bâtiment les rejoignent pour protester, eux aussi, contre l’excès de normes. Comme l’agriculture, l’artisanat se retrouve aujourd’hui à la croisée des chemins. « Malgré l’attrait pour nos métiers, nous souffrons d’une pénurie de main-d’oeuvre. La question de la transmission est même
