epuis quelque temps déjà, les SUV semblent avoir eu la peau des berlines et de ceux qui étaient avant leurs pendants plus pratiques : les breaks. De plus, dans le contexte actuel de transition écologique, tout nous pousse à penser – les médias (mea culpa), les instances politiques, les malus et bonus écolos, le prix du carburant, l’interdiction d’entrer dans certaines villes pour les voitures affublées d’une vignette Crit’Air 4 et j’en passe – qu’au moment d’acheter une auto neuve, il faut forcément investir dans l’avenir, donc dans la fée électricité à plus ou moins forte dose ! Dès lors, Mercedes serait-il tombé sur la tête en se figurant qu’un break Classe E mû par un modeste 4 cylindres diesel de 197 ch, à peine soutenu par un système de micro-hybridation 48 V, pouvait trouver preneur ? Peut-être pas tant que cela… Certes, le marché électrique progresse. Aujourd’hui, en France, 20 % des voitures neuves
