Les chiffres alarmants de la natalité en France nécessiteraient un véritable: ce sont les termes employés par le président de la République, mardi, lors de son . D’après les chiffres publiés par l’Insee quelques heures plus tôt, 678 000 enfants sont nés en France en 2023, ce qui représente une baisse précise l’Insee. Enfin, grande première, cette baisse de la fécondité touche tous les âges. Emmanuel Macron s’est voulu rassurant, convaincu que Mais combien seront-ils ? L’enjeu est simple : le renouvellement de la population française. Le président a donc annoncé dans la foulée la création d’un congé de naissance de six mois pour les deux parents. Mais sa proposition de « grand plan » pour redresser les chiffres de la démographie, qui emprunte au champ lexical militaire avec la volonté de , a immédiatement fait tiquer certaines féministes, à l’instar de Renée Greusard, auteur de(Jean-Claude Lattès, 2022). Sur Instagram, cette dernière a fustigé des propos qu’elle juge déplacés, portant atteinte à la vie privée. Elle pointe pêle-mêle une liste de difficultés justifiant ces chiffres : violences gynécologiques, coût d’un enfant à éduquer, poids de la charge mentale, post-partum… Et de s’indigner : Si aucune femme n’est obligée d’enfanter par une politique familiale, les chiffres montrent que certaines aimeraient le faire, mais ont besoin de l’aide de l’État pour l’assumer. Des femmes inexistantes dans le discours de Sandrine Rousseau (EELV), qui s’exclame sur X : D’autres, comme Philippe Ballard (RN), estiment au contraire qu’.
Le « réarmement démographique » qui irrite les féministes
Jan 21, 2024
2 minutes
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