e n’est pas tous les jours que l’on roule en Ferrari, même quand il s’agit de faire quelques tours de roues sous l’oeil inquisiteur du photographe, comme c’est le cas de votre serviteur. Alors quand l’occasion se présente, on est toujours partagé entre enthousiasme et fébrilité. Car le constructeur au cheval cabré a pour réputation d’offrir des autos performantes, certes, mais exigeantes, à l’entretien comme à la conduite. La grille de boîte est difficile à appréhender, les commandes sont dures comme du bois, une bonne position de conduite n’est pas la préoccupation majeure et la visibilité périphérique non plus. Et puis il y a la fiabilité. Un point épineux, d’autant que le coût d’entretien est à la hauteur du blason. Autant de choses qui exacerbent la responsabilité qui est la nôtre, quand il s’agit de prendre le volant d’un tel joyau et particulièrement quand son propriétaire n’est pas avec nous le jour du reportage! Et cette fois, c’est le cas. Je loue d’ailleurs la confiance de Jacky, heureux possesseur de l’auto, mais je n’en mène pas large à l’idée de promener
BRUTALITÉ DOUCE
Jan 18, 2024
6 minutes
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