Ces dernières semaines ont été marquées par des polémiques : les transports, la tour d’arbitrage de l’épreuve de surf, la sécurité… Comment expliquez-vous qu’un événement festif charrie autant de mauvaise humeur et de divisions ? C’est un mal français ?
C’est un contexte que connaissent tous les pays hôtes à l’approche des Jeux. Ce fut le cas à Londres et à Rio : polémiques sur le coût, inquiétudes quant à l’impact sur le quotidien, engorgement dans les transports, etc. Mais il y a sans doute aussi une dimension culturelle : les Français sont exigeants, et un peu râleurs. Je ne m’en plains pas – ce sont des traits de caractère qui nous poussent aussi à nous dépasser – dès lors que les faits ne sont pas travestis.
Au sein même du comité d’organisation, il y a eu des frictions entre Anne Hidalgo et vous-même