Le porte-parole du gouvernement a annoncé que la présentation de la loi sur la fin de vie serait finalement reportée à « début 2024 ».
Si l’euthanasie et le suicide assisté sont au centre du débat, l’on ne s’interroge pas sur ce qu’est, au sens philosophique, la. La fin de vie est devenue un impensé, on ne parvient plus à la conceptualiser. Et bien plus que la mort, c’est l’agonie qui est à méditer : ce moment de souffrance et de diminution qui précède l’heure fatidique. Doit-on soulager cette douleur ? Faut-il l’abréger ? Avons-nous la liberté de ne pas la subir ?