Dans les économies développées, le marché de l’immobilier résidentiel passe inévitablement par le cycle suivant : la sous-production crée de la rareté et fait monter les prix, accroissant la spéculation (1), qui appelle une surrégulation, notamment des loyers (2), laquelle limite la mobilité des habitants et augmente la rareté (3) jusqu’à ce que la situation devienne intenable et qu’un effort en faveur de la production neuve apparaisse inéluctable (4).
Ces phases ne coïncident