Devant l’offensive de Tsahal, l’église devient un refuge pour toutes les communautés
Dans cette atmosphère de fin du monde, l’espérance pour résister à l’enfer
Après le dôme de fer, le dôme de foi. « Certains ont expérimenté la mort mais ont été sauvés par la main de Dieu », confesse un des sauveteurs
Plusieurs fois par jour, quelles que soient les contraintes de son agenda, le pape François prend le temps de les contacter. Alors, la petite foule de réfugiés réunie dans l’église de la Sainte-Famille s’agglutine autour du téléphone de sœur Nabilla pour écouter ses paroles de réconfort prononcées en italien. Chacune des interventions publiques de François est une nouvelle occasion d’appeler au respect de la vie des civils. « Je ne cesse de penser à la grave situation en Palestine et en Israël, disait-il encore le 5 novembre depuis la fenêtre du palais apostolique. Je vous en prie, au nom de Dieu : cessez le feu ! »
Au lendemain du « Chabbat
