n cas d’attaque de pathogène, les végétaux sont capables de se protéger mutuellement en instaurant une forme d’immunité collective. Or voilà pour le riz, pour le blé). Résultat : chez les plantes qui poussaient avec des voisines de variété différente, par rapport à celles qui poussaient à côté de plantes génétiquement identiques à elles-mêmes, jusqu’à 90 % de sensibilité en moins à la maladie a été observé ! , explique l’un des auteurs, Jean-Benoît Morel, de l’Inrae de Montpellier. En concevant des mélanges variétaux, les agriculteurs pourraient ainsi réduire l’utilisation de produits chimiques pour lutter contre les maladies. poursuit le biologiste.
L’ENTRAIDE ENTRE PLANTES VOISINES SE PRÉCISE
Nov 22, 2023
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