Y aurait-il un business de la malbouffe qui profite à l’agro-industrie autant qu’aux laboratoires pharmaceutiques ? La question a l’air complotiste mais repose sur une donnée aussi sérieuse qu’inquiétante : le coût sociétal de la surcharge pondérale était estimé à plus de 20 milliards d’euros par an par le Trésor public en 2012. Entre 6 et 17 ans, un enfant sur six est en surpoids ou considéré comme obèse dans notre pays, et le restera probablement à l’âge adulte. Il y a urgence.
Or un poison s’est inséré.