C’est la première fois que des journalistes pénètrent dans le kibboutz de Nir Oz. Avant la guerre, quatre cents habitants vivaient dans ce petit village paisible. Un quart d’entre eux sont morts dans l’attaque du 7 octobre. Aujourd’hui, le kibboutz n’est plus que ruines. Une odeur de brûlé et de mort règne dans les ruelles de Nir Oz.
Une patrouille de l’armée nous accompagne. Nous, confie un militaire,Des barbelés ceinturent le village. , dit-il, son M16 à la main.