Il est celui qui a fait entrer le tahini dans tous les supermarchés du monde, qui dirige sept restaurants à Londres et qui a dressé des buffets de salades pour le jubilé d’Elizabeth II en 2012. L’auteur a vendu près de dix millions de livres, traduits en trente langues. Chroniqueur culinaire du « Guardian », depuis dix-sept ans le gourou aux 2,3 millions de followers sur Instagram a même inspiré une chanson au rappeur Loyle Carner. Bref, un phénomène planétaire qui fait l’objet de documentaires et même d’études universitaires.
Mais en ce vendredi d’automne, Yotam Ottolenghi,