Rival Sons
Lightbringer
ATLANTIC/WARNER
★★★½
UN ALBUM EN JUIN, un autre en octobre: c’était annoncé, la promesse aura ne soit pas perçu comme un “simple” complément de . Là aussi, ils ont… tenu parole. À plus d’un titre, les six morceaux de ce second volet font office de confirmation, celle d’un groupe qui ne veut plus se fixer de limites, y compris d’un point de vue stylistique, sans pour autant jeter au panier son emphase épique coutumière (“Before the Fire”, “Mosaic”) ou les bases très rock’n’roll qui l’ont installé – et font encore le bonheur ici d’un “Mercy” ou d’un “Sweet Life”. Chargé ou non de faire le lien entre les deux albums, “Darkfighter” résumerait presque les envies d’émancipation du groupe, semblant vouloir convoquer tour à tour Crosby, Stills and Nash, Led Zeppelin et Emerson, Lake and Palmer. Rien que ça! Nutritif, le noncomplément…