En juin dernier, le Fonds de garantie des victimes se mobilisait pour sensibiliser les conducteurs à l’obligation d’assurer leurs voitures, au moins en responsabilité civile, appelée aussi “formule au tiers”. Il rappelait que, même en cette période d’inflation qui pèse sur les finances des plus démunis, il ne faut pas céder à la tentation de rouler sans assurance. Car, devant les primes prohibitives annoncées, certains, et notamment les moins de 35 ans, sont parfois enclins à zapper ce budget de plus en plus lourd. Outre qu’ils commettent alors un délit passible de 3 750 € d’amende, de la confiscation du véhicule et de l’annulation du permis, ils peuvent avoir à rembourser des sommes colossales toute leur vie en cas d’accident. Voici plusieurs options pour rester dans les clous.
La conduite accompagnée : à prioriser autant que possible
Cela demande certes de l’anticipation et l’appui d’un parent. Mais, au vu des avantages que procure l’apprentissage anticipé de la conduite (AAC), plus connu sous le nom de, la prime se trouve minorée : de 69, 31 ou 174 € chez Axa, L’olivier et la Maif pour notre profil, un étudiant de 19 ans vivant à Orléans (45) et assurant au tiers une Renault Clio 3 essence de 75 ch datant de 2012.