Je vais vous faire une confidence : j’aime beaucoup Nicolas Sarkozy. Je parle ici de l’homme politique. Ce qu’il dit ; ce qu’il fait. Je le trouve intelligent (très), courageux (très), sensible (très). Cette hypersensibilité, aux confins de la raison et du cœur, fait de lui un être à part chez les hommes de pouvoir. Je le place cent coudées au-dessus de ceux qui sont aux affaires aujourd’hui.
Ne parlons même pas des deux ou trois éditorialistes qui ont dézingué Le Temps des combats (en libraire depuis le 22 août). Ils n’ont pas la racine carrée de ses neurones. Manifestement, ils ne possèdent pas non plus de miroir dans leur salle de bains.
Nicolas Sarkozy n’est plus président. Il n’aspire pas à