Une nouvelle fois, Daniel Kretinsky a fait son marché. Après avoir avalé le Groupe Casino en juillet, Atos… Du moins, la partie qui abrite le système de contrôle des centrales nucléaires françaises et des outils de simulation de la bombe nucléaire. Le milliardaire tchèque semble inarrêtable dans ses acquisitions en France, et vise toujours plus gros, et plus stratégique. Sans que l’État français ne s’inquiète de sa mainmise sur l’économie et même sur l’industrie de la défense française.
Or, si on ne connaît toujours pas l’origine exacte de sa fortune – un avocat d’affaires tchèque investissant soudainement des centaines de millions d’euros dans des sociétés de distribution de gaz en Europe centrale –, il est aisé de tracer sa progression fulgurante