vis de tempête sur la place parisienne. Plusieurs fleurons français se trouvent au pied d’un mur de dettes, situation d’autant plus préoccupante que le coût consistant à recourir à l’endettement pour financer une acquisition) qui a fait son succès? L’inquiétude est d’autant plus grande que l’entreprise se trouve au coeur d’une affaire de corruption au Portugal impliquant l’un des cofondateurs, Armando Pereira. S’estimant « trahi », Patrick Drahi dit avoir pour « seule priorité » de réduire la dette. En France, il envisage de vendre des actifs non stratégiques, comme les data centers… A qui le tour? Les Galeries Lafayette et le géant de l’immobilier Unibail-Rodamco-Westfield, également très endettés, sont dans le viseur. Pour ces grands paquebots, la rentrée promet d’être mouvementée.
