L’Algérie a officiellement condamné le putsch au Niger et exprimé « sa profonde préoccupation » puis « condamné avec force la tentative de coup d’État » contre le président nigérien Bazoum. Elle se range donc, apparemment, résolument contre les putschistes de Niamey. Mais la lecture de ces événements est-elle aussi simple ? Pourrait-il y avoir une explication autre ?
Nous pouvons faire trois remarques à ce propos.