Ces dernières années, les comités éditoriaux de revues scientifiques internationales publient et donnent la parole à des chercheuses et chercheurs en sciences dures revendiquant une visibilité, une prise en considération des minorités de genre, « raciales », ethniques et sexuelles, et dénonçant des discriminations au sein des STIM (science, technologie, ingénierie et mathématiques).
Dès 2013, un article (Ko et al.) présentait, dans une analyse critique, l’expérience de chercheuses de