L », soulignait l’ingénieur-architecte Guy Rottier (1922-2013). Visionnaire? En tout cas précurseur pour celui qui prônait une architecture en marge, dite « buissonnière », et qui inscrivait au coeur de ». Retour vers le futur et vers les villes exponentielles qui gagnent du terrain sur la nature, les paysages. Sous l’effet de ses effets négatifs, on se prend à rechercher autre chose, à repenser les modèles, ceux de l’habitat par exemple. Architectes, ingénieurs, designers imaginent ainsi des architectures alternatives plus légères, suspendues, mobiles, flottantes, évolutives, solaires… en y incorporant l’idée du mieuxêtre et de la reconnexion avec une nature tellement essentielle. Place à l’initiative personnelle, à la modularité, au sur-mesure, à l’inventivité, aux esprits libres et libérés. Disciples du slogan de la veine minimaliste initiée par l’architecte Mies van der Rohe? Sans doute en partie, mais adeptes aussi de l’économie de moyens, du bon sens, du bon usage, de la curiosité, du mouvement… De toutes ces idées trop souvent délaissées et qui ressurgissent comme une évidence à reconsidérer.
ARCHITECTURES BUISSONNIÈRES
Apr 25, 2023
1 minute
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