Il parait que la nuit a tendance a reveler ce que le jour tait. Les angoisses, les vices, les démons. Mais également un tout autre type de comportement, peut-être moins bridé par les regards, les lumières de la ville et cet éternel souci de bien paraître. À entendre Hamza chanter Au bout de la nuit, l’un de ses nouveaux morceaux, on ne peut s’empêcher de se dire que le Bruxellois a toujours été familier avec ce mode de vie, passant ses nuits dehors, en quête d’instants plus fous, plus incontrôlables et plus imprévisibles qu’une soirée à la maison.
, on prend également conscience que la majorité de ses chansons ne parlent finalement que de ça, de ces expériences nocturnes où l’on ne pense qu’aux plaisirs simples, au sexe avec un X majuscule, et à la fête. Visiblement d’accord, Hamza confesse avoir beaucoup traîné dans les clubs de ses 19 ans à ses 25 ans, dans ces lieux obscurs où, même inconsciemment, il a probablement façonné les premières bribes