Paris Match Avant de découvrir 1881 Silver Night, de Cerruti, aviez-vous une riche pratique olfactive ?
Tomer Sisley. Pas du tout. Ayant grandi à Berlin, je n’étais pas environné de parfums puissants. Ma seule éducation cosmétique était la crème Nivea que ma mère appliquait à tout le monde dans la famille !