Léopold le catholique, Sédar le sérère, Senghor le Sénégalais à la « goutte de sang portugais » dans les veines et dans le patronyme… Une seule et même personne. Une même passion du métissage et de la rencontre artistique. C’est bien de cela dont il s’agit dans l’exposition du Musée du quai Branly, « Senghor et les arts, réinventer l’universel ».
Enfant de Joal dans le Siné Saloum et citoyen delieu dans la capitale sénégalaise: Chagall, Picasso, Soulages, Mannessier ou le Sénégalais Iba N’diaye. Une première sur le continent africain! En ce même lieu, il favorisa la création d’une école de danse, Mudra, sous les auspices de Maurice Béjart avant de la confier à la chorégraphe et danseuse Germaine Acogny.