ET DE TROIS INÉDITS!

La voilà enfin, cette à laquelle Céline se réfère dans et qui excite depuis près d’un siècle la curiosité des lecteurs – un Céline médiéval, pensez donc… La voilà même en deux versions couplées dans un volume: où la langue, un français d’autrefois réinventé, apparaît diablement célinienne (le manuscrit date de 1939). Puis remontant à 1932-1933, portée par un style classique mais déjà perverti par des tournures propres à l’auteur. S’y ajoute une annexe où se retrouvent, comme les soldats d’une troupe débandée, des feuillets krogoldiens récupérés un peu partout.