Lui, le « Petit Chose », fils d’un immigré ukrainien, n’avait pas l’assurance des gens bien nés
L’homme d’honneur, meurtri, ne supporte pas de voir son honnêteté bafouée
« Arrêtez-vous là, Jean-François. Je vais faire quelques pas. Revenez me chercher avec Sylvain. Soyez là à temps pour la manifestation du Canoë Club. » Voici, selon son chauffeur, Jean-François Ragouneau, les derniers mots de Pierre Bérégovoy. Il est environ 18 heures lorsque la R25 se gare