« Opzelura ». Huit lettres pour une révolution thérapeutique, celle du tout premier médicament contre le vitiligo, un drôle de nom pour une drôle de maladie chronique de la peau, qui crée des taches blanches sur le corps. Et engendre une gêne, voire une honte, pour les 600 000 à 1 million de Français qui en souffrent. Mais tout va bientôt changer : l’Agence européenne des médicaments ase félicite Martine Carré, présidente de l’Association française du Vitiligo (AFV), le temps de préciser certains points réglementaires, dont le remboursement – ou non – par la Sécurité sociale.
